mercredi 2 octobre 2013

Communiqué de presse de Jean-Didier Berthault : « Rythmes scolaires : Anne Hidalgo n’a pas peur du ridicule »

Les socialistes ne savent décidément plus quoi faire pour sauver la face après les nombreux dysfonctionnements constatés par les parents et le personnel éducatif à l’occasion de la mise en place anticipée de la réforme des rythmes scolaires.
Au lendemain de la question au gouvernement de Nathalie Kosciusko-Morizet à l’Assemblée nationale, le Président de la République convoque aujourd’hui le Ministre de l’Education à l‘Elysée pour une réunion de crise sur la réforme. L’objectif ? Faire croire en gesticulant que l’on fait quelque chose pour ne surtout rien changer.
À Paris, alors que Nathalie Kosciusko-Morizet souhaite faire la transparence avec les Parisiens sur les «ratés» de la réforme, grâce au site www.nosenfantsmeritentmieux.fr, l’équipe de la candidate sortante tente de faire diversion.

En demandant à Patrick Klugman de saisir la CNIL sur la «constitution d’un possible fichier illicite», Madame Hidalgo n’a pas peur du ridicule. Tout est bon pour empêcher les Parisiens de signaler, sans obligation de renseigner de données personnelles, les dysfonctionnements constatés dans les écoles de Paris. Tout est bon pour faire oublier aux Parisiens qu’en voulant faire de Paris le meilleur élève de la pire des politiques, la municipalité a fait de nos enfants les cobayes d’une expérimentation improvisée.

Laissez moi aller chez Monop' après 21 heures

Laissez moi aller chez Monop' après 21 heures

le groupe Facebook grossit et compte déjà 300 membres

Bruno Julliard (#PS) : "Mme Kosciusko-Morizet (#UMP) privilégie ses rythmes de campagne électorale à ceux des enfants Parisiens‏"

Depuis une semaine, Nathalie Kosciusko-Morizet manifeste un intérêt soudain pour l’école. La dernière fois qu’elle évoquait le sujet avec autant de conviction, c’était en tant que porte-parole de Nicolas Sarkozy pour justifier les 60 000 suppressions de postes décidées par son gouvernement.

Sur la question des rythmes éducatifs, la porte-parole de la droite parisienne fait preuve de la même amnésie : c’est bien le gouvernement auquel elle appartenait qui a décidé sans aucune concertation et contre l’avis de toutes les parties prenantes, le passage à la semaine de quatre jours à la rentrée 2008. Avec 144 jours de classe seulement par an, la France était devenue le pays européen avec le nombre de jours travaillés le moins élevé et imposant à ses écoliers les journées les plus intenses et épuisantes, au mépris de l’intérêt de l’enfant.

Après avoir consciencieusement défendu la mise à sac de l’école entre 2007 et 2012, la députée de l'Essonne prend la pose d’une improbable porte-parole de légions d’écoliers fatigués et de leurs parents déboussolés, faisant preuve d’un insupportable cynisme. 

#NKM (#UMP) sera au Forum Libération

"Extension de Roland Garros : le coup de force de la mairie de Paris"

Problème d'adhésions bidon au PS #Paris14 ?

Combien coûte la répression des biffins?

Les associations et les élus verts veulent connaître le prix des opérations policières aux abords des marchés de la misère de la capitale. En vain.

Police montée, patrouilles, rondes de CRS. Chaque jour, sur les marchés de la misère, tout autour de la capitale, c'est le même ballet. Les déballages sauvages sont placés sous haute surveillance. Et avec eux les biffins, ces chiffonniers qui sont de plus en plus nombreux à venir vendre sur les trottoirs parisiens des objets hétéroclites glanés dans les poubelles.


A quel prix? C'est la question que posent en chœur depuis plusieurs mois les élus Europe Ecologie-les Verts (EELV) et les associations de défense des biffins qui se plaignent de ne pas  obtenir de réponse à leurs interrogations. les vendeurs ces trois dernières années, et il semble impossible à obtenir, s'insurge Samuel Le Cœur, le président de l'association de défense des intérêts et droits des biffins, Ameliore. Il est probable que nous frôlions le million d'euros, avance-t-il.

La suite : le Parisien

Les communistes parisiens se réunissent ce soir

Position de Wallerand de Saint Just, candidat du #FN-RBM à la mairie de Paris, sur la question des rythmes scolaires

Communiqué de Wallerand de Saint-Just, Candidat du Front National à la mairie de Paris 

Le PS et l’UMP doivent, sur cette question de la réforme des rythmes scolaires, être renvoyés dos à dos. Le PS, MM. Peillon et Delanoë ont voulu trop brutalement, et pour des raisons idéologiques et politiciennes, jouer avec l’équilibre des enfants les plus jeunes : l’UMP, elle, possède aussi une grande responsabilité : lors du quinquennat de N. Sarkozy, elle n’a en vérité engagé aucune des vraies réformes qui aurait permis à l’école de redevenir un lieu d’apprentissage du savoir et d’éducation. 

Bien plus, Michèle Tabarot, actuelle secrétaire générale de l’UMP, a pondu, fin 2010, un rapport préconisant, peu ou prou, la réforme du ministre Peillon, notamment sur la semaine de « quatre jours et demi ou cinq jours ». 
Madame Kosciusko Morizet a ainsi encore perdu une occasion de se taire.

75003 : Un neveu de Jean-Paul Belmondo candidat #FN aux municipales à Paris

Il s'appelle Jean-François Belmondo. C'est le fils du producteur Alain Belmondo, frère de Jean-Paul Belmondo. Jean-François Belmondo est docteur en pharmacie. Son officine est située dans le XIe arrondissement de Paris, en haut de la rue Jean-Pierre-Timbaud. Le neveu du monstre sacré du cinéma français est aussi le directeur de la campagne du Front national pour les municipales dans le IIIe, son arrondissement de résidence. Il est deuxième sur la liste FN conduite par une quadra, Sophie Duval.
Jean-François Belmondo, âgé d'une petite cinquantaine d'années, est attaché à la personnalité de Jean-Marie Le Pen depuis de longues années, mais il indique avoir pris sa carte du parti en 2012. Le candidat est relativement isolé dans son engagement au sein de sa famille, pour une part de droite, pour une autre à gauche, mais dans l'ensemble modérée. À l'exception de sa grand-tante maternelle, Jeanne Lauze, qui, raconte-t-il, a été secrétaire du PCF d'Alger.

Jean-François Belmondo se sent en revanche parfaitement à l'aise dans son quartier de résidence, marqué par la présence d'une forte communauté homosexuelle. Il y appartient. Il la voit évoluer «de l'intérieur, depuis les années 1980». «Cette communauté est devenue très ouverte au FN», assure-t-il. Même sentiment pour Sophie Duval, qui, elle aussi, a longtemps fréquenté ce milieu. «Sur les six garçons de notre équipe, indique Belmondo, cinq sont homosexuels.» 

Impots : la révolution s'impose ! par Christian Saint-Etienne (#UDI) #CSE2014

Quand Jean-François Copé envisage des listes #UMP dissidentes à Paris

Vendredi dernier, le président de l’UMP réunissait au siège du parti ses soutiens parisiens inquiets d’être « maltraités » par la tête de liste, Nathalie Kosciusko-Morizet.
Étaient présents, entre autres, Pierre-Yves Bournazel, élu dans le XVIIIe et porte-parole de campagne de NKM, Pierre Charon, conseiller de Paris (XVe), Brigitte Kuster (XVIIe), etc. « Si l’on n’obtient pas les places qu’on souhaite en position éligible, on devra monter des listes dissidentes », a suggéré l’un des participants à cette réunion discrète. Jean-François Copé ne l’a pas désavoué, précisant qu’« il faudra de toutes façons mettre la pression sur NKM » pour obtenir gain de cause.
L’atmosphère générale de la conversation n’était guère à la fête. Copé et ses amis trouvent « décevant » le début de campagne de NKM, « trop nationale » à leurs yeux et ne parlant « pas assez aux Parisiens ».


la suite :  Atlantico

Réunion publique de l'UMP dans le XVIIIeme

Faire de Paris la capitale de la résistance à l’austérité, réponse de Danielle Simonnet (#PG) à M-N Lienemann

Danielle Simonnet, élue du XXe arrondissement de Paris et secrétaire nationale du Parti de gauche, répond à la socialiste Marie-Noëlle Lienemann, qui invitait lundi les communistes à« soutenir Anne Hidalgo dès le premier tour ». Pas question, affirme la candidate du PG pour les municipales à Paris : « Nous devons faire de ces élections un vote sanction de la politique gouvernementale. »

Alors que la politique antisociale et anti-écologique de l’actuel gouvernement désespère celles et ceux qui ont contribué à battre Sarkozy dans les urnes, chacun-e doit prendre conscience de son immense responsabilité politique.
Oui, le prochain scrutin des élections municipales sera un grand rendez-vous politique national. Je l’assume, et la gauche des écologistes, comme la gauche du PS, ainsi que toutes les composantes du Front de Gauche et le NPA doivent l’assumer : nous devons faire de ces élections un vote sanction de la politique gouvernementale et démontrer qu’une majorité alternative aux politiques d’austérité est possible. D’autant plus à Paris, ville capitale !
Comment empêcher la droite de reprendre le pouvoir à Paris et le Front National d’y gagner des positions ? En étant honnête et cohérent. On ne peut manifester contre la réforme des retraites du gouvernement et se retrouver dès le premier tour sur les mêmes listes que les amis de ce gouvernement. On ne peut dénoncer l’escalade sécuritaire et raciste anti-Rroms et se retrouver dès le premier tour sur les mêmes listes que celle qui ose déclarer que « Paris ne doit pas devenir un campement géant de Rroms ». On ne peut refuser les alliances de la sociale démocratie avec la droite partout en Europe et se retrouver dès le premier tour sur les listes de celle qui prône une stratégie d’alliance avec le Modem.
Ensemble dans les luttes, construisons le même rassemblement dans les urnes. Pourquoi interpeller les communistes pour qu’ils rejettent cette option et ne pas le faire en direction des écologistes qui ont d’ores et déjà choisi l’autonomie ? 

"Anne Hidalgo (#PS), son Paris pour l'avenir" (Décisions durables)

Travail du dimanche: Leroy-Merlin le désenchanteur, par Christophe #Najdovski (#EELV)


Branle-bas de combat ! Les grandes enseignes du bricolage, Leroy-Merlin et Castorama, sonnent la charge contre l'interdiction du travail dominical et défient la loi pour, disent-elles, "ne pas pénaliser nos équipes et nos clients". Ce serait donc par pur altruisme que les chevaliers de la table de bricolage auraient levé leurs armées de salariés et de citoyens bricoleurs. Sus au code du travail archaïque et sus à une loi dite incompréhensible alors qu'elle leur interdit clairement d'ouvrir le dimanche ! Pourtant, pour ne pas pénaliser équipes et clients, n'y aurait-il d'autres moyens que de défier la justice ? Pourquoi en effet contraindre les employés à solliciter un jour de travail supplémentaire pour arrondir leurs fins de mois ? Quant aux clients, sont-ils tant pénalisés si on les prive, un jour par semaine, de la tentation de faire des dépenses ?

La quête de Leroy-Merlin et de Castorama manque ainsi singulièrement de sincérité et il paraît évident qu'ils n'ont d'autre graal que de vendre leur marchandise et d'augmenter leur chiffre d'affaire.

Le rassemblement des centres en marche à Paris

Une réunion entre le MoDem et l'UDI pour préparer le rassemblement des centres à Paris a eu lieu, ce mardi, au siège du parti de Bayrou. Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem et candidate à la mairie de Paris, et Christian Saint-Étienne, chef de file de l'UDI dans la capitale, ont participé, en présence de Patrice Gassenbach, patron de la fédération parisienne du parti de Borloo, à cette première rencontre qui sera suivie d'autres. 

Christian Saint-Etienne (#UDI) regrette l'initiative de la #CGT contre #Monoprix

Danielle Simonnet (#PG), en verve et contre tout

La course à la mairie de Paris ne se résume pas à un duel Hidalgo-Kosciusko-Morizet. A six mois du premier tour, «Libération» se penche sur les autres prétendants. Aujourd’hui, la tête de liste du Parti de gauche. 

Elle a un côté «bonne copine». Quand on la retrouve pour un café, en terrasse près de l’Hôtel de Ville - elle siège depuis 2008 au conseil de Paris -, ses manières spontanées et ses éclats de rire lui donnent presque l’air d’être toujours une syndicaliste étudiante. 
Pour ce qu’elle aurait gardé du goût de refaire le monde. Elue depuis un bail du XXe arrondissement, où elle s’efforce de «repenser le rôle de l’élu local», Danielle Simonnet a participé à la création du Parti de gauche, où elle était en charge de «repenser les pratiques militantes», après être passée par le cabinet de Jean-Luc Mélenchon à l’Enseignement professionnel. 
Pas franchement une débutante donc, mais une obsédée des mots qui commencent en «re». Le réformisme du PS, elle y a goûté un moment, de l’époque manifeste contre le Front national jusqu’en 2008, avant de lui préférer, en quelques sortes, la révolution socialiste. A Paris, elle veut la conduire par les urnes, à la tête d’une liste autonome, à laquelle les communistes ne se sont pas, encore, officiellement ralliés  Mais Danielle Simmonet a confiance.

Nathalie Kosciusko-Morizet (#UMP) : «Vincent Peillon a fait une affaire personnelle de la réforme des rythmes scolaires»

Retraite à 60 ans, un dessin humoristique mais sexiste du Front de Gauche ?

Wallerand de Saint Just (#FN) : Les mosquées salafistes et wahhabites doivent être définitivement fermées à Paris !

Les bricoleurs du dimanche manifestent devant Matignon

Rassemblement, ce mercredi matin aux abords de l'hôtel Matignon, de l'association des bricoleurs du dimanche en faveur du travail dominical. 

La suite : France 3 Paris Ile de France

Visite d'Hervé Morin et d'Elisabeth Castel (#UDI 75004) aux urgences de l'Hôtel-Dieu



@Anne_Hidalgo sera au Forum Libé #Paris le 19 octobre

OpinionS : Le "shutdown" américain, souhaitable en France ?


OpinionS : Le "shutdown" américain, souhaitable... par Lopinionfr

Anne Hidalgo (#PS) hyper connectée

Hyper connectée la première adjointe du maire de Paris! En pleine campagne pour succéder à Bertrand Delanoë, Anne Hidalgo a fait le déplacement à Rabat pour participer au Sommet international des dirigeants régionaux qui se poursuit jusqu'au 4 octobre. Le360 l'a rencontré...




Source : le 360.ma

Anne Hidalgo (#PS) au Maroc reçoit des soutiens


Manuel Valls (#PS) peut-il être accusé d’avoir tenu des propos racistes sur France Inter ?

Le 24 septembre dernier Manuel Valls, ministre de l’intérieur, invité sur France Inter a tenu des propos très polémiques sur les populations Roms de France.
Voici le texte des paroles polémiques :
« Depuis que je suis ministre, j’ai décidé le démantèlement de ces véritables bidonvilles qui représentent à la fois un danger pour les populations elles même, pour les populations d’origine Rom mais aussi évidemment pour les habitants des quartiers populaires.
C’est illusoire de penser qu’on règle le problème des populations Roms à travers uniquement l’insertion, donc cela passe par des reconduites à la frontière, cela est passé aussi par la fin de cette aide au retour qui a créé un véritable appel d’air, mais nous y avons mis fin.
Ces populations ont des modes de vie extrêmement différents des nôtres et qui sont évidemment en contradiction  ; le Maire vient de le dire, le Maire Monsieur V. vient de le dire il y a un instant. Il faut tenir compte de cela et donc cela veut bien dire que les Roms ont vocation à revenir en Roumanie ou en Bulgarie. »

Que dit la loi ?

On en trouve un bon résumé sur le site gazette-sante-social.fr/
« En France, tout ne peut pas être dit ou écrit dans la sphère publique. Tel est le cas des propos racistes. Ceux-ci sont définis par les articles 1 et 2 de la loi n° 72-546 du 1 er juillet 1972 relative à la lutte contre le racisme - dite loi « Pleven » - comme l’ensemble des discours critiques fondés sur l’« origine ou l’appartenance ou la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, d’une ou plusieurs personnes ». En outre, ils font l’objet d’une interdiction renouvelée.

La rue Copernic (XVIe arr) attend l’extradition

Trente-trois ans après l’attentat visant une synagogue parisienne, le terroriste présumé, résidant au Canada, a épuisé tous les recours légaux. 

C’était le premier attentat contre les juifs en France depuis la fin de la guerre. Quand la moto piégée a fait voler en éclats toute la rue Copernic, le 3 octobre 1980 à Paris, la France a été sous le choc. Quatre passants tués, des dizaines de blessés, mais le but des terroristes était de faire un massacre, la bombe devait exploser à la sortie de l’office de shabbat, quand des centaines de personnes sont dans la rue. La minuterie n’a pas bien fonctionné.

Les 10 Infos Éco : La CGT force la fermeture à 21 heures de tous les Monoprix

1. La CGT force la fermeture à 21h de tous les Monoprix. 94 Monoprix qui pratiquaient des nocturnes jusqu'à 22h00 dans plusieurs villes françaises vont devoir fermer à 21h. La CGT a exercé son droit d'opposition après des négociations sur le travail en soirée, Cet accord prévoyait notamment de 25 à 35% de majoration de salaire pour le travail de soirée, mais le syndicat « a exercé son droit d'opposition, rendant ainsi l'accord inapplicable", selon un communiqué de Monoprix.


Source :  Atlantico

Une association de profs pro-Marine Le Pen (#FN) va bientôt voir le jour

Laissez moi aller chez Monop' après 21 heures, le groupe Facebook




Laissez moi aller chez Monop' après 21 heures

Noet Perceval (#FN) veut lutter contre l'insécurité, l'Insalubrité et la spéculation immobilière dans le XVIIIeme

#NKM (#UMP) interpelle le gouvernement à l'assemblée sur les #RythmesScolaires


Question au Gouvernement de Nathalie Kosciusko... par NKM

Christian Saint-Etienne #CSE2014 (#UDI) sur BFM Business


L'invité politique : Christian Saint-Etienne... par BFMBUSINESS


Source : Elisabeth Castel, UDI 75004

La #CGT contraint #Monoprix à fermer à 21 heures

Les citadins habitués à quitter le bureau tard le soir et à faire leurs courses alimentaires jusqu'à 22 heures devront changer leur emploi du temps. Monoprix s'apprête en effet à fermer dès 21 heures pas moins de 94 supermarchés à Paris, en région parisienne et dans une dizaine de grandes villes de province.
Monoprix proposait pourtant «des majorations de 25 à 35 % des salaires, des repos compensateurs supplémentaires ainsi que des mesures sur la sécurité ou la mobilité des salariés concernés, qui sont tous volontaires» ; cet accord d'entreprise avait pourtant été signé par trois syndicats, approuvé par le comité central d'entreprise ainsi que par 81 % des CHSCT des magasins concernés. Las. La CGT, le syndicat majoritaire, a exercé vendredi son droit d'opposition, rendant l'accord inapplicable.

Quand Paris va-t-elle pouvoir respirer au bois de Vincennes ? Par Christophe Najdovski (#EELV)

Paris Respire consiste, les dimanches et jours fériés, à réserver aux piétons, cyclistes, rollers, etc. des voies habituellement dévolues à la circulation automobile en semaine. Depuis 2007, à mon initiative, l’opération Paris Respire se déroule sur la portion nord-est de la route de ceinture du lac Daumesnil dans le bois de Vincennes. En mars dernier, je faisais voter à l’unanimité par le conseil d’arrondissement un vœu pour l’extension de Paris Respire à l’intégralité de la route de ceinture du lac, c’est-à-dire à la partie sud-ouest, qui n’était pas encore concernée. 

Ce vœu a ensuite été adopté par le conseil de Paris et c’est un nouvel espace de respiration qui s’ouvre aux parisiens et franciliens. La mesure est adoptée, et mise en œuvre à partir du 21 juillet. Elle est même annoncée sur le site de la mairie du 12e arrondissement, même si c’est un peu de manière confidentielle. Et pourtant ! En me promenant dimanche 15 septembre au bois de Vincennes, quelle n’a pas été ma surprise de voir que sur la partie sud-ouest de la route de ceinture du lac, au lieu des promeneurs, des cyclistes et des rollers, ce sont des voitures en stationnement que l’on trouve, en plein cœur du bois !


Paris Respire était suspendu, sans aucune information ni explication !


Je demande donc solennellement à ce que le vote du conseil du 12e arrondissement et du conseil de Paris soit respecté par la mairie de Paris. 

La suite : christophe-najdovski.fr

Anne Hidalgo (#PS) interviewée par Publico

Travail du dimanche : le gouvernement est en train de perdre tous ses repères de gauche, par Ian Brossat (#PCF)

Après le mouvement de fronde des enseignes Leroy Merlin et Castorama, qui ont ouvert dimanche 14 magasins pourtant frappés d'une interdiction d'ouverture, le Premier ministre doit trouver un terrain d'entente et «poser ces sujets à plat». Pour Ian Brossat, président du Groupe PCF / PG au Conseil de Paris, le «gouvernement est en train d'abandonner toutes ses valeurs de gauche en rase campagne».
Ce gouvernement donne l’impression de céder à la pression de quelques patrons. Les déclarations socialistes sur le travail du dimanche sont doublement affligeantes : affligeantes parce ces patrons ont sciemment violé la loi. C’est donc une forme d’encouragement pour ces patrons qui se sont conduits d’une manière scandaleuse. Deuxièmement, c'est affligeant car on n’attend pas de la gauche qu’elle étende le travail dominical et qu’elle aggrave les conditions de travail des salariés. Ce n’est pas pour cela qu’on a élu la gauche il y a un peu plus d’un an.

#Monoprix contraint de fermer ses grands magasins à 21h

Les 300 grands magasins Monoprix vont devoir fermer à 21h00 en raison d'un blocage de la CGT à un nouvel accord négocié sur le travail en soirée.

En plein débat sur le travail dominical, les grands magasins Monoprix (groupe Casino) vont devoir fermer à 21h, en raison d'un blocage de la CGT contre un nouvel accord négocié sur le travail en soirée.

Cet accord, négocié après l'invalidation en avril par la Cour d'appel de Versailles de celui datant de 2006, prévoyait notamment de 25% à 35% de majoration de salaire pour les horaires de travail décalés en soirée, mais "la CGT a exercé son droit d'opposition, rendant ainsi l'accord inapplicable", selon un communiqué diffusé mardi soir par la direction de Monoprix.

"La direction de Monoprix regrette cette décision"

Sur les quelque 300 magasins Monoprix implantés en France, 94 pratiquaient jusqu'à présent des ouvertures au-delà de 21h, et vont ainsi devoir restreindre leurs horaires du soir.

Danielle Simonnet (#PG) opposée aux contrôles au faciès

Comment le Parti socialiste prépare les élections municipales

A six mois de l'échéance, le PS s'attend à subir un reflux dans les urnes mais reste serein. Le choix du candidat est compliqué à Montpellier et Pau notamment