dimanche 4 août 2013

La lettre ouverte du cofondateur de Snapcar au groupe de taxis G7

Cher monsieur Rousselet, Le 27 juin dernier, les parisiens ont échappé de justesse à un enième mouvement social des taxis. Il semblerait que vous ayez – encore – obtenu ce que vous souhaitiez de la part du gouvernement


Les nouveaux marquages au sol expérimentés par la Ville de Paris seront-ils respectés ?

La Ville de Paris vient de lancer l’expérimentation de plusieurs types de marquage au sol afin semble-t-il  de mieux signaler aux usagers, en sus des panneaux déjà existants, l’arrivée dans une zone dite "apaisée" c’est-à-dire soit une "zone 30", soit une "zone de rencontre" (voir notre article du 5 janvier 2013). Plusieurs propositions sont faites aux parisiens qui peuvent faire part de leurs préférences sur le site de la Mairie de Paris.

La suite : Vivre le Marais

Nouvel épisode dans la guerre des #taxis parisiens

Paris : les urgences dans la course municipale

À quelques mois des élections de 2014, le sort du service d'urgences de l'Hôtel-Dieu est devenu un des dossiers chauds de la campagne.
Sur le papier, tout le monde ou presque est d'accord. Ni Anne Hidalgo, la première adjointe au maire de Paris, ni Nathalie Kosciusko-Morizet, la tête de liste de l'UMP pour les municipales de mars 2014, ni Wallerand de Saint-Just, le candidat du FN, ni le sénateur Vert Jean-Vincent Placé ne souhaitent la fermeture du service d'urgences de l'Hôtel-Dieu. La candidate du Parti de gauche Danielle Simonnet y est également opposée ; tout comme Marielle de Sarnez, chef de file du MoDem parisien. Malgré cette belle unanimité, la question est devenue l'un des dossiers chauds de la campagne.
En cause, la position de l'actuelle majorité. Bertrand Delanoë et Anne Hidalgo n'ont de cesse de répéter qu'ils ne veulent pas de la fermeture du service d'urgences. Tout du moins pas dans les délais prévus par le calendrier de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris.
Soit. Mais le premier adjoint à la santé Jean-Marie Le Guen, qui préside le conseil de surveillance de l'AP-HP, juge, lui, la fermeture «inéluctable». La polémique a repris de plus belle avec l'annonce, par la ministre de la Santé ­Marisol Touraine, du report de la fermeture du service d'urgences initialement prévue début novembre.

«Un artifice politique»

Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, ce délai est surtout révélateur de la «duplicité» des uns et des autres, «qui sont tous socialistes et se connaissent très bien». «Ils mentent aux Parisiens en expliquant qu'ils ne souhaitent pas la fermeture des urgences, explique la candidate de l'UMP. Ce moratoire n'est rien d'autre qu'un artifice politique pour passer les élections. Mais il y a plus grave: ils font courir un risque aux Parisiens qui se présentent au service des urgences, puisque les services médicaux en aval ont déjà commencé à être démantelés. C'est un pur scandale.» 

Permanence de Christophe Girard (maire #PS du 75004) vandalisée !

Breaking News !


Christophe Girard, le maire (socialiste) du IVe arrondissement, a déclaré sur Twitter, que la permanence du Parti Socialiste Paris 4eme avait été dégradée.



Evidemment, c'est le genre d'acte qui ne sert pas le combat politique, et que donc chacun condamnera. 
Cependant, nulle joie, chacun sait à quel point il est pénible de retrouver sa propriété dégradée, mais nulle compassion non plus
En effet, le 70 rue François Miron est en plein coeur du Marais, à deux pas de Saint Paul, de Rivoli et des Quais.

Or, le secteur, y compris la rue François Miron elle-même, est truffé de videosurveillance.

#NKM va t-elle baisser les impots ?

Après le trophée du #PSG samedi à Libreville, Laurent Blanc livre son analyste

Etes-vous satisfait après ce premier trophée glané par le PSG cette saison ? 
Laurent Blanc, entraineur du PSG
Source : le Figaro
Laurent Blanc : Oui, dans la mesure où on avait la chance de jouer ce trophée, les joueurs l'avaient mérité. Je leur avais dit qu'on avait l'opportunité sur un match de gagner un trophée, c'est rare. Les joueurs étaient conscients, l'état d'esprit était bon. Il y avait peut-être le fait que la préparation était usante, pesante, et il fallait qu'ils digèrent cette préparation, et qu'ils n'étaient peut-être pas dans les meilleures dispositions. Personnellement ? Oui, je suis heureux comme les joueurs de gagner un trophée. J'espère qu'il y en aura d'autres, mais ce sera difficile, on l'a vu ce soir. Il ne faut pas croire que quand le PSG entre sur le terrain, le match est gagné d'avance.

Bordeaux vous a bousculés...
Oui. En première période, Bordeaux nous a certes bousculés mais Paris a eu les occasions d'ouvrir le score, Carrasso a fait deux trois parades. Petit à petit, Bordeaux a pris confiance, a marqué un joli but avec beaucoup de passivité au niveau de la défense de Paris. A la mi-temps, il y a eu un petit discours qui a permis de rééquilibrer l'équipe, tactiquement on a changé quelques petites choses, et l'entrée de trois joueurs à vingt minutes de la fin a donné plus de rapidité et de profondeur. Ça nous a permis de croire en nos chances : quand on tire le coup franc à la fin, je pense qu'il y a pas mal de joueurs du PSG qui croient qu'on va marquer.




Y at-il des Parisiens à Paris Plages ?




Source : Le Figaro