mercredi 29 mai 2013

Intox de NKM sur la video surveillance à Paris ?

Primaire UMP Paris : un vote par Internet très opaque

Ce week-end, les électeurs parisiens sont appelés à participer à la primaire de désignation du candidat UMP pour les municipales 2014 à Paris. Mais le choix du vote par Internet et de ses modalités promet de faire polémique. Opacité totale, conflit d'intérêts, risque évident de fraudes,... les critiques sont nombreuses et feront peser un doute sur la sincérité du scrutin. 



Claude Goasguen - Primaire UMP à Paris : il faut "briser la machine à perdre"

Mairie de Paris : deux candidates sur le pont

L’une a tenu son premier meeting de campagne, hier soir au Bataclan. L’autre se débat dans une primaire UMP délétère au résultat encore incertain. Le 3 juin, ou au plus tard le 10 si un deuxième tour de la primaire était finalement nécessaire, Anne Hidalgo et Nathalie Kosciusko-Morizet se retrouveront sur la même ligne, déterminées à devenir la première femme maire de Paris. Et à succéder à Bertrand Delanoë, qui termine deux mandats avec un indice de satisfaction de 60%.

Harcèlement policier envers les SDF : rassemblement de solidarité à 18h à Bastille

La terrible histoire du sdf et de son chien RIKI confisqué par la police.

RIKI LIBRE! RASSEMBLEMENT DE SOLIDARITÉ : Mercredi 29 mai à 18h
Sur le campement (rue de Lyon, le long de l’Opéra Bastille)

Sans-abris de l’Opéra Bastille harcelés: La police leur confisque leurs chiens. Ils les retrouvent proposés à l'adoption sur un site internet http://www.associationstephanelamart.com/index.php?pageweb=adoptions&n=793

RASSEMBLEMENT DE SOLIDARITÉ : Mercredi 29 mai à 18h Sur le campement (rue de Lyon, le long de l’Opéra Bastille)

Municipales à Paris : Delanoë se défend d'avoir «désigné» Hidalgo

A quelques jours de l'ouverture de la primaire UMP pour désigner son candidat à  aux municipales 2014, Anne Hidalgo, candidate fraîchement adoubée par les militants  tenait, elle, son premier meeting de campagne ce mardi soir. L'occasion pour le maire sortant, , de tordre le cou à l'image «d'héritière» que la droite tente de coller à son actuelle première adjointe.

Rachida Dati : "NKM a mon soutien"


La maire du 7e arrondissement estime que l'ancienne ministre de l'Écologie ne peut être battue dans la primaire UMP pour la mairie de Paris.

Rachida Dati, maire UMP du 7e arrondissement, a manifesté mardi son soutien à Nathalie Kosciusko-Morizet dans la primaire municipale de leur parti pour Paris. "Nathalie a mon soutien et elle le sait", a déclaré l'ex-garde des Sceaux sur BFM TV et RMC, après avoir elle-même voulu se lancer dans cette compétition interne. NKM peut-elle être battue dans cette primaire ? "Moi, je ne le crois pas", a répondu l'eurodéputée. "C'est celle qu'on a choisie." Va-t-elle voter pour l'ex-ministre de l'Écologie ? "Je le lui ai dit. Oui", a fini par lâcher Rachida Dati, relancée à plusieurs reprises sur cette question.

Anne Hidalgo adoubée par Delanoé - Par Jérome Dubus

HIDALGO ADOUBEE par son maitre Delanoe et par 27OO militants socialistes seulement! Il va maintenant falloir qu’elle explique aux parisiens pourquoi Paris a perdu 120000 emplois en 13 ans; pourquoi il manque toujours 15OOO places de crèches; pourquoi le nombre de demandeurs de logement a augmenté de 4OOOO et pourquoi le taux de pauvreté parisien est le plus élevé après celui du 93. Bon courage Anne!

Bournazel dans Direct Matin


RATP et privacy

Bertrand Delanoë : décidément, la droite parisienne ne changera jamais !


Bertrand Delanoë : "La droite parisienne ne... par rtl-fr

Primaires UMP : et vous, Pierre-Yves Bournazel, quelles sont vos propositions pour que les gens normaux puissent habiter à Paris ?


Atlantico : Comment se loger à Paris alors que le prix du mètre carré dépasse en moyenne la barre des 8000 euros ?

Pierre-Yves Bournazel : En systématisant des préemptions dispendieuses, en réduisant par dogmatisme la politique du logement à la construction des HLM et en cédant des terrains aux promoteurs sans limiter le prix de vente des futurs appartements, la majorité sortante a encouragé une spéculation dont les Parisiens sont les premières victimes.

Anne Hidalgo prend son envol…. lentement !

Mardi soir au Bataclan, a eu lieu le premier meeting de la candidate à la succession de Bertrand Delanoë à la mairie de Paris

Lire l'Opinion

Le maire de Paris a symboliquement transmis le flambeau à son "héritière

Le maire de Paris a symboliquement transmis le flambeau à son "héritière"


"Entre ce que nous avons fait avec Bertrand (Delanoë) et ce que nous allons faire ensemble, il n'y aura pas de rupture", a déclaré mardi Anne Hidalgo, candidate à sa succession, au cours de son premier grand meeting de campagne pour la mairie de Paris. 


Voiture et logement, dossiers noirs de la capitale


Après les deux mandats de Delanoë, ces thèmes restent un point de crispation.

Sur quoi fait-on campagne dans une ville suréquipée comme Paris lorsque l’on prétend en devenir maire? Eh bien, sur ce qui fait râler les Parisiens… Par exemple, la circulation et la difficulté à se loger. La première a permis à Bertrand Delanoë d’engager une vraie politique de rupture avec la voiture. La seconde reste un problème indébrouillable. Revue de deux dossiers majeurs. Circuler : comment aller de l’avant ?

Paris : Anne Hidalgo entre en campagne

La candidate socialiste aux municipales de 2014 appelle au rassemblement de toute la gauche.

Mardi soir, Bertrand Delanoë a introduit le premier meeting d'Anne Hidalgo, candidate socialiste à la mairie de Paris en 2014, en présence du premier secrétaire du PS Harlem Désiret de l'ex-premier ministre Lionel Jospin. C'est le maire PS sortant qui l'avait choisie comme première adjointe à son arrivée à l'Hôtel de ville, en 2001. Et c'est lui encore qui l'avait désignée comme dauphine, avant même la fin de son premier mandat. Mais sur la scène du Bataclan, une salle de concert du XIe arrondissement, devant plus de 1500 militants et sympathisants selon les organisateurs, Bertrand Delanoë a dénoncé «la querelle d'héritage à Paris», provoquée selon lui par la droite. Mercredi dernier, la candidate, seule à briguer les suffrages au sein du PS parisien, a été désignée par 98,3 % des voix des 2 715 votants sur quelque 5 000 cotisants. «Je n'ai pas désigné Anne, elle a été désignée par un processus démocratique », a souligné le maire sortant. «Les seuls héritiers, ce sont les Parisiens qui ont bénéficié de notre politique de solidarité », a-t-il insisté dans une longue défense de son bilan.

Delanoë passe le témoin à Hidalgo

C'est dans la salle parisienne du Bataclan qu'Anne Hidalgo a donné mardi soir son premier meeting de campagne. Le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a livré un discours plus qu'élogieux à l'égard de sa candidate. Récit.


Elle prépare son discours depuis plusieurs jours et a fait appel à ses collaborateurs pour l'aider à l'écrire. Le moment est important pour Anne Hidalgo. Ce mardi soir au Bataclan, la candidate socialiste à la mairie de Paris donne son premier meeting de campagne, cinq jours après avoir été investie par les électeurs socialistes de Paris. "Ca n'est pas le démarrage de sa campagne mais le point d'orgue", précise le député PS Jean-Marc Germain, son mari.
Parmi les 1.500 personnes venues remplir cette salle de concert parisienne, des soutiens de poids : l'ancien Premier ministre Lionel Jospin, le président de la région Ile-de-France Jean-Paul Huchon, le patron du PS Harlem Désir mais aussi deux ministres parisiennes, Dominique Bertinotti et Georges Pau-Langevin. Et bien sûr, le maire de Paris Bertrand Delanoë. L'ancien footballeur Vikash Dhorasoo et l'acteur Dominique Besnehard sont également présents. Tous louent devant les caméras les qualités de la première adjointe du maire de Paris. A l'exception de Lionel Jospin, qui se veut bien moins prolixe : "Je suis ravi d'être là mais je ne dirai rien", dit-il en arrivant. Quelques minutes plus tard, la candidate fait son entrée et traverse la salle sur Harlem Shuffle des Rolling Stones.

Paris Banlieue sur le meeting d'Anne Hidalgo

Anne Hidalgo s'élance vers 2014


Le premier meeting de la candidate socialiste à la mairie de Paris s’est tenu ce mardi soir au Bataclan, dans le XIe arrondissement de Paris, réunissant d’après les organisateurs, 1 500 personnes.

18h45. Au-dessus de l’entrée du Bataclan, où trônent habituellement des noms d’artiste, les lettres un peu vieillies affichent : «Anne Hidalgo, Paris 2014». Sur le trottoir d’en face, quelques cars satellites - la télévision retransmet le meeting en direct ; devant la salle de spectacle, militants et service d’ordre s’affairent.
Au milieu des sièges face à la scène s’installent des jeunes, quelques-uns gobelet de bière à la main, et des moins jeunes. Les drapeaux sont prêts à être brandis. L’éclairage achève de donner à l’ensemble une manière d’ambiance «fête populaire».
On aperçoit le producteur de cinéma Dominique Besnehard, Lionel Jospin, Jean-Marc Germain - le compagnon d’Anne Hidalgo -, les ministres Dominique Bertinotti et George-Pau Langevin, Jean-Luc Roméro, le député du XIIIe arrondissement Jean-Marie Le Guen. La mairie de Paris s’est déplacée, maires d’arrondissement compris (Christophe Girard, Pascal Cherki, entre autres) ; le conseil régional - Jean-Paul Huchon, Marie-Pierre de la Gontrie, aussi. Harlem Désir arrive

Legaret : réponse à une campagne de calomnie

Cher amis, 

Je fais l’objet d’une campagne de calomnie depuis cet après-midi. Certains d’entre vous ont peut-être reçu un mail avec une vidéo dans laquelle je souhaite un bon anniversaire à Gaylib. Celui-ci appelle de ma part
plusieurs remarques.
La première est que nous sommes face à une campagne de désinformation de grande ampleur, qui s’appuie sur une vidéo, accompagnée d’un texte mensonger. Cette vidéo a été tournée au QG de campagne de Nicolas SARKOZY le 13 avril 2007. 
Ce jour-là, Gaylib, à l’époque mouvement associé à l’UMP, était invité pour fêter ses 5 ans. Dans cette même vidéo, de 10 minutes, s’exprimaient d’ailleurs dans des termes analogues aux miens Jean-François COPE, Laurent WAUQUIEZ, Jean-Pierre RAFFARIN, Patrick DEVEDJIAN, Françoise de PANAFIEU et bien d’autres. Je vous rappelle qu’à ce moment Gaylib était opposé au mariage gay et militait en faveur du Contrat d’Union Civile, que soutenait Nicolas SARKOZY et que je soutenais. 

Pour mémoire, je vous rappelle que Nicolas SARKOZY et les élus UMP étaient déjà à l’époque opposés au mariage pour tous et à l’adoption. - Je n’ai jamais adhéré à Gaylib. J’ai été invité à participer à des réunions de travail avec Gaylib et je m’y suis rendu dans le cadre du projet présidentiel et législatif de Nicolas SARKOZY. 
Depuis, Gaylib s’est dissocié de l’UMP, a changé de présidence et radicalement de position sur ce sujet et que je ne partage plus aucune des idées de ce mouvement aujourd’hui. - J’ai toujours été opposé au mariage pour tous. - J’ai participé à toutes les manifestations de « La Manif pour Tous » Ma position sur le sujet est connue de tous et est sans ambiguïté. 

La suite sur le site de Jean-François Legaret

Pierre-Yves Bournazel dans « Le Supplément » sur Canal+

A Paris, l'UDI dans l'attente d'un chef de file

Ce dernier week-end, la fédération UDI de Paris s'est officiellement constitué. Les troupes sont en ordre de marche. Il ne manque plus qu'un leader pour les municipales. Quelles peuvent être les chefs de file du parti de Jean-Louis Borloo dans la capitale ?


Rama Yade pouponne.

Rama, Jean-Louis et les autres

L'ancienne secrétaire d'état aux droits de l'homme a donné naissance la semaine dernière à une fille. Son prénom est Jeanne, protectrice de la France, et non Geneviève, sainte patronne de Paris.

Ce choix peut-il donner un indice sur les ambitions politiques de la vice-présidente du parti radical ?

"Nous adressons à Rama et à Jeanne un message de sympathie en espérant que Rama nous rejoindra rapidement dans le cadre des actions que nous avons à mener au niveau national", déclare samedi à la tribune Patrice Gassenbach, le nouveau patron de la fédération UDI de Paris à l'occasion de son élection.. Une déclaration assez vague qui ne mange pas de pain. "Rama peut venir renforcer l'action de la fédération de Paris", précise-t-il devant des journalistes lundi midi.

Rien de bien consistant, l'hypothèse Rama Yade reste toujours en suspens.

Si elle ne venait pas, une candidature interne pourrait venir la suppléer. Celle de Christian Saint-Etienne, économiste de renom et élu à Paris depuis 2008.