dimanche 31 mars 2013

Bournazel : "Je veux être le maire manager d’une ville-monde qui crée de la croissance et de l’emploi durables"


Chères Parisiennes, chers Parisiens,
Pierre-Yves Bournazel

L’histoire a légué à Paris des atouts exceptionnels : un tissu économique ancien, une ouverture vers le monde, un cadre de vie privilégié, une concentration d’intelligences, une propension à innover… Pourtant, la capitale de la France est de moins en moins au rendez-vous de l’attractivité économique.
Le cabinet KPMG a publié au début de l’année une étude comparative consacrée aux implantations étrangères de nouveaux bureaux et usines dans les principales métropoles mondiales. Le classement révèle une détérioration continue de la compétitivité de Paris. Notre ville a chuté de la troisième à la dixième place de 2008 à 2012. On y dénombre 192 implantations étrangères en 2008, 191 en 2009, 170 en 2010, 150 en 2011 et 108 en 2012. Comparativement, Londres en accueillait trois fois plus l’année dernière et occupait la première place mondiale. Barcelone, Düsseldorf et Dublin nous talonnent désormais dans ce classement. L’accélération brutale du décrochage de Paris, ces derniers mois, n’est probablement pas étrangère à la politique fiscale du nouveau gouvernement. Elle est également la conséquence d’une inertie politique plus locale et ancienne.
Le développement économique n’a jamais été la priorité de la majorité municipale sortante et les principaux leviers de croissance ont été négligés. L’étude de KPMG montre que Paris s’effondre surtout (et dans des proportions inégalées dans le monde) dans sa capacité à accueillir les fonctions stratégiques des entreprises (implantations de sièges, centres de recherches et de services partagés…). Dans son classement dédié aux métropoles les plus attractives, le cabinet PwC met en lumière ces lacunes : le virage manqué de l’exemplarité numérique et du développement digital, les infrastructures inadaptées, la difficulté à faire des affaires, les problèmes de sécurité et un coût de la vie exorbitant.
La compétitivité de Paris se heurte frontalement à la pratique d’une gouvernance dogmatique. En privilégiant l’économie dite « sociale et solidaire » à l’attractivité internationale, en multipliant par six le montant de la cotisation minimum de CFE pour les entreprises réalisant plus de 100 000 euros de chiffre d’affaires, la majorité sortante a fragilisé les fondements de notre ville. En cinq ans, le nombre de chômeurs a progressé de plus de 32 %. Fin décembre 2012, 121 340 Parisiens étaient inscrits à Pôle emploi (en catégorie A) et 170 000 ménages vivaient sous le seuil de pauvreté. 

Paris: l'adjointe PS, Anne Hidalgo, condamnée ?!!


Voilà une nouvelle bien discrète que n'a que peu ou pas filtrée dans la presse alors que nous sommes pourtant dans l'ère du buzz et que l'info a été révélée il y a au moins 48 heures!

La possible future Maire PS de Paris, donc patronne de tous les fonctionnaires Parisiens, vient d'être condamnée à une amende de 40 000 € pour "infraction à la législation sur la durée du travail au titre de ses fonctions de Présidente du Conseil d'Administration de l'APUR".
C'est le site internet de F.O qui fait circuler cette info.

Cela démarre il y a un peu plus d'un an (été 2011) par le suicide d'une salariée de l'Atelier Parisien de l'Urbanisme (APUR), en suite duquel l'Inspection du Travail décide d'ouvrir une enquête et en arrive à relever une multitude de dysfonctionnement, dont notamment de nombreuses heures supplémentaires non rémunérées.
Le terme juridique qui définit aujourd'hui cette forme d'esclavagisme moderne est le "travail dissimulé".

Pour la petite histoire, il est bon de savoir qu'Anne Hidalgo a été inspectrice du travail durant 9 ans (1984 à
1993) et qu'elle a d'ailleurs publié un livre sur le sujet intitulé "Travail au bord de la crise de nerfs"...


Anne Hidalgo dénonce des "propos mensongers" de NKM à son égard

L'UMP Nathalie Kosciusko-Morizet affirme, dans le Journal du dimanche, que la candidate PS à la Mairie de Paris aurait été condamnée par la justice en 2012 pour "travail déguisé". 


Anne Hidalgo, candidate PS à la mairie de Paris, a démenti dimanche "les propos mensongers" selon elle de sa rivale UMP Nathalie Kosciusko-Morizet qui a affirmé dans le Journal du Dimanche qu'elle aurait été condamnée en 2012. 
 
"J'ai pris connaissance avec consternation des propos mensongers de Nathalie Kosciusko-Morizet publiés dans le Journal du Dimanche relatifs à une condamnation que j'aurais eue", écrit la première adjointe au maire de Paris, dans un communiqué. "Je démens bien entendu de telles allégations et j'en appelle une fois encore à une campagne digne et respectueuse des personnes où la calomnie et les insinuations n'ont pas leur place", ajoute Anne Hidalgo. 
Le Journal du Dimanche fait état, dans son édition du 31 mars, d'une confidence de l'ancienne ministre UMP se plaignant "des leçons de morale" de Anne Hidalgo. Elle assure ainsi que la première adjointe de Bertrand Delanoë, "a été condamnée en 2012 à 20 000 euros d'amende pour travail déguisé à l'Atelier d'urbanisme de la Ville de Paris" (Apur). L'entourage d'Anne Hidalgo a rappelé qu'en janvier dernier, l'Apur avait relevé dans un communiqué avoir été par deux fois "dispensé de peine" par la justice. 

Droit du travail : Anne Hidalgo condamnée à 40 mille euros d’amende !


Le tribunal donne raison à l’inspection du travail contre la Mairie de Paris !

Anne Hidalgo et la Ville de Paris ont été condamnés à 40 mille euros d’amende, en toute discrétion, pour infraction à la législation du travail selon le syndicat Force Ouvrière et l’hebdomadaire « Le Point » du 26 janvier. La Mairie de Paris a déclaré avoir fait appel.

Au mois de juillet 2011, l’inspection du travail avait déposé deux plaintes au tribunal de Police, l’une pour travail dissimulé, l’autre pour dépassement d’horaire répété à l’encontre de l’Atelier Urbanisme de la Ville de Paris (APUR). Cet organisme qui dépend de la Mairie de Paris est présidé par Anne Hidalgo, 1ère adjointe (PS) du Maire de Paris et candidate désignée à la succession de Bertrand Delanoë. « Un climat social lourd » selon des personnels qui parlent même de « souffrance au travail » voilà ce qu'était le quotidien de ce service municipal.

C’est le suicide d’une salariée qui a déclenché l’enquête de l’inspection du travail. Visiblement, le droit du travail n’était guère respecté à l’APUR puisque les plaintes ont finalement abouti et la Ville condamnée à une lourde amende. Certains se demandent qui va payer cette somme. Anne Hidalgo ou la Ville de Paris, au moment où cette dernière vient de perdre son triple A ?

Pour prendre les devants, la Mairie de Paris avait d’ailleurs provisionné 300 mille euros, pas moins, pour payer les dépassements d’horaire déjà effectués ! « Je n’ai pas le sentiment que les choses soient plus dramatiques qu’ailleurs » avait pourtant déclaré avec candeur, le directeur Francis Rol-Tanguy, qui devait être en résistance avec le Code du Travail. « En tant qu’ancienne inspectrice du travail, Anne Hidalgo aurait du être sensible au sujet » murmure pour sa part, le Conseiller de Paris (Nouveau Centre) Jérôme Dubus, élu au conseil d’administration.

Et dire que cette semaine la Mairie de Paris va présenter un projet d’accord cadre sur la Sécurité et Santé au Travail aux partenaires sociaux dans le cadre d'un Comité Hygiène et Sécurité (CHS) entièrement consacré au sujet. Une majorité de syndicats a déjà pointé le peu d’ambition de ce texte et surtout l’absence totale de moyens pour ne serait-ce que le faire appliquer. Il est vrai que les caisses municipales viennent d'êtres amputées de 340 000 euros avec cette sale histoire. 

Dans ces conditions, la plupart des organisations syndicales, ne devrait pas signer cet accord cadre. On comprend que dans ce contexte, cette condamnation tombe plutôt mal !

Publié également dans "Miroir Social"


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                                                                     "Je mets le chèque à l'ordre de qui ?"


Infraction de travail dissimulé à... La Mairie de Paris !


Anne Hidalgo, dauphine présomptive du seigneur Delanoë – qui a déjà organisé la transmission de son sceptre à la dame du 15e – vient d’être mise en lumière par Le Parisien. Enfin ! Seraient tentés de se dire les soutiens de la 1ère adjointe, à qui il est fréquemment reproché d’être trop discrète.


Las ! Madame Hidalgo doit ce coup de projecteur à une sombre histoire, survenue à l’Atelier parisien d’urbanisme (APUR) – dont elle préside le conseil d’administration. Alertée par le suicide d’une employée il y a environ 1 an, l’Inspection du travail a en effet légitimement diligenté une enquête. Plusieurs dysfonctionnements ont alors été relevés, dont le plus grave porte sur de nombreuses heures supplémentaires, non payées.



En termes légaux, cela s’appelle du « travail dissimulé » : une spécialité que l’on croyait pourtant l’apanage des odieuses entreprises privées vilipendées à longueur de temps par les socialistes ! La Ville de Paris a bien sûr prévu d’acquitter la facture de 300.000 €, sans doute histoire de faire oublier au plus vite ce peu glorieux épisode. 

Pour l’anecdote, Mme Hidalgo a exercé durant près de 10 ans les fonctions… d’inspectrice du travail, allant jusqu’à commettre un livre sur le sujet !


Le plus choquant réside toutefois dans l’attitude du directeur de l’APUR, Francis Rol-Tanguy :



- « Les syndicats eux-mêmes n’avaient rien dit » !

- « (…) je n’ai pas le sentiment que les choses soient beaucoup plus dramatiques qu’ailleurs. », ose-t-il affirmer quant au suicide de la salariée.


Un tel cynisme fait froid dans le dos. Qui plus est lorsqu’on sait que la femme décédée avait laissé une lettre de suicide faisant part de ses difficultés professionnelles…



La sanction encourue par l’APUR et M. Rol-Tanguy ? 120.000 €. Le prix d’une vie ?


Source : le HuffPost


Edit : source François Vial , Juillet 2011

Anne Hidalgo, première adjointe, portrait d'Emmanuel Ratier


Premier maire adjoint de Paris, Anne Hidalgo, épouse Germain, née en Andalousie et naturalisée française, est donnée comme la dauphine de Bertrand Delanoë. Féministe et ambitieuse, celle qui se présente comme une « travailleuse » est une permanente politique depuis plus de dix ans et a occupé précédemment de hautes fonctions essentiellement dues à son engagement au Parti socialiste. Elle vient de publier un essai, Travail au bord de la crise de nerfs.
« Hidalgo, hijo de algo. En français, fils de quelqu’un, de noble descendance chrétienne, sans mélange de sang. » France-Soir (16 octobre 2006).
« Anne Hidalgo […] créature politique imaginée par Delanoë et valorisée par François Hollande. » Le Parisien (11 mai 2004).
Anne Hidalgo est née le 19 juin 1959 à San Fernando (Espagne), près de Cadix. Elle est la fille de deux immigrés espagnols, Antonio Hidalgo, électricien, et de Maria Aleu, couturière. Le couple s’est réinstallé depuis lors outre-Pyrénées.
On lit souvent qu’il s’agit de républicains espagnols réfugiés en France après la guerre civile mais rien n’est plus faux. En réalité, il s’agit du grand-père d’Anne Hidalgo, intendant d’un vaste domaine dans la province de Cadix, qui s’installa avec sa famille, dont le jeune Antonio, en France, dès 1937.
VSD (article non daté, mais figurant sur le site d’Anne Hidalgo. Il s’agit de l’unique article détaillé jamais paru sur sa famille en français) indique donc : « En 1937, pour échapper à la montée des troupes fascistes, le grand-père paternel, républicain, traverse les Pyrénées à dos de mulet avec sa famille. » Étrange républicain venu de l’extrême sud de l’Espagne pour passer en France alors même que toute la partie « Est » de l’Espagne était encore sous contrôle des républicains. On rappellera aussi que la guerre civile a commencé en juillet 1936 et s’est finie en avril 1939. Il s’agit donc peut-être d’un républicain mais certainement pas d’un combattant républicain de premier plan ayant réellement lutté contre l’hydre fasciste. La meilleure preuve est que la famille se réinstalle en Espagne dès la fin de la guerre civile, en 1939, se fixant à Antequerra. VSD indique, sans autre détail ; « Sa femme ne survit pas, tout comme la petite dernière. Il est emprisonné pendant trois ans. Le père d’Anne a dix ans. » En réalité, ce n’est pas faux, si ce n’est que la grand-mère d’Anne meurt durant le voyage de retour et nullement, comme on pourrait le croire, de sévices infligés par les franquistes.
Dans un entretien accordé à El Pais (reproduit dans Courrier international, 19 avril 2001), Anne Hidalgo indique aussi : « Il (son grand-père) a voulu rentrer en Espagne. Il a écrit au maire de son village, le propriétaire de la grande exploitation dont il avait été l’intendant. Le maire lui a promis d’assurer sa sécurité […] Veuf avec quatre enfants, mon grand-père a dû faire face à une double condamnation à mort. Il a été jeté en prison, mais, grâce à la protection promise, la sentence de mort n’a pas été exécutée (NDA : selon certaines sources, il aurait effectué trois ans de prison). Mon père est allé vivre chez sa grand-mère maternelle. »
Autre version, dans Le Nouvel observateur (31 octobre 2002) : « Son grand-père, militant socialiste pendant la guerre civile, qui participa à l’exécution d’un notable franquiste, frôla la mort, connut la prison. » À 17 ans, Antonio Hidalgo s’engage, comme électricien, dans la marine marchande.
VSD, qui fait pleurer Margot, indique : « Pour fuir les privations et les humiliations. “J’ai longtemps été considéré comme un fils de rouge, mais je n’acceptais pas, je me rebellais.” » Sans vouloir faire preuve de mauvais esprit, on doit conclure qu’Antonio Hidalgo refusait donc d’être considéré comme « un fils de rouge ».
Dans les années 1950, il se marie et se fixe à San Fernando, près de Cadix, là où naîtra Anne Hidalgo. Il travaille alors pour les chantiers navals. Son frère s’est installé près de Lyon.
La famille Hidalgo (les parents, Mary, l’aînée, passée par l’École supérieure de commerce de Lyon, qui dirige un magasin de jouets en Californie, et Anne, qui a deux ans) quitte alors l’Espagne pour s’installer dans une cité HLM du 9e arrondissement de Lyon. Ils optent pour la binationalité dans les années 1970.
Une histoire en fait très classique d’immigrés espagnols venus chercher le confort en France, qu’Anne Hidalgo dramatisera dans son livre Une femme dans l’arène (Rocher), n’hésitant pas à citer (France-Soir, 16 octobre 2006) ses parents comme des « républicains convaincus qui ont fui le franquisme pour s’installer à La Duchère, banlieue populaire de Lyon. » Étrange fuite après plus de vingt ans en Espagne. 

Anne Hidalgo et la Générale des Eaux

"Très à l'aise, Anne Hidalgo préside cette séance du conseil de Paris consacrée à ce qu'elle appelle
non sans un certain humour "débat sur l'affaire prioritaire relative au contrat de l'eau". Cette ancienne inspectrice du travail (c'est du moins ce qu'elle met en avant dans son CV) va faire entériner un an de négociations secrètes entre la nouvelle majorité municipale et les deux marchands d'eau dans la capitale, Véolia et Suez. En l'absence du maire à cette heure tardive, la première adjointe préside les débats. C'est le règlement. Certes. 

La majorité de gauche ne cherche pas des poux dans la tête de la maire bis. Soit. Mais les conseillers d'opposition de droite ont eux la mémoire courte, ou préfèrent se taire. Avant d'être nommée, en 1997, conseiller technique au cabinet de Martine Aubry, ministre de l'Emploi et de la Solidarité, Anne Hidalgo a été pendant deux ans chargée de mission auprès du directeur du personnel de la Compagnie générale des eaux. Elle y a croisé Jean-Pierre Frémont, engagé en octobre 1997, lui aussi, comme chargé de mission de la filiale CGEA (Compagnie générale d'entreprise automobile), en charge des secteurs propreté et transports collectifs. Elu conseiller de Paris dans le XVème arrondissement comme Anne Hidalgo, l'UDF Jean-Pierre Frémont occupe aujourd'hui les fonctions de directeur des collectivités publiques à Veolia Water, filiale de Veolia Environnement (nouveau nom de l'ex-Générale des eaux à sa sortie de l'orbite de Vivendi Universal). 

A l'inverse de la première adjointe, le conseiller Frémont préfère sécher le débat sur l'eau en ce soir du 15 décembre 2003. Cet ancien conseiller chargé de la communication de François Bayrou au ministère de l'Education nationale la joue toujours discrète. Il occulte soigneusement le nom de son employeur dans son curriculum vitae, où il se dit simplement cadre supérieur. Secret de polichinelle au conseil de Paris ? Nous l'avons appris apparemment à plusieurs élus Verts et PS de cette assemblée. Mais aucun conseiller de gauche n'en souffle mot par peur de devenir l'arroseur arrosé, compte tenu des états de service d'Anne Hidalgo... 

Le 16 juin 2003, Bertrand Delanoë ira même jusqu'à faire applaudir en séance la nomination de Jean-Pierre Frémont au grade de chevalier dans l'ordre national du Mérite. La justification de cette double casquette, Jean-Pierre Frémont la donne sans complexe, en tant que cadre supérieur de Veolia Environnement : "Pour des hommes et des femmes passionnés par leur métier, l'échange et le partage d'informations et des préoccupations sont sources d'enrichissement... 

La Générale des Eaux est souvent sollicitée par le monde politique, et nous avons toujours répondu présents dans un souci d'explication et de partage d'informations." Aujourd'hui directeur des collectivités publiques chez Veolia, le même Jean-Pierre Frémont se garde bien de faire de la publicité à un document dit son service intitulé Le mouvement altennandialiste, quelles réponses ? 

Rédigé officiellement par l'un de ses adjoints, l'ancien député PS de Lorient, Pierre Victoria, cette note à usage interne de 27 pages explique en 17 points comment contrer les arguments des ONG et des écologistes qui demandent la remunicipalisation de l'eau dans les villes et villages de l'Hexagone. Exactement le genre de débat que la mairie de gauche parisienne ne souhaite pas voir porté sur la place publique". 

Source:  L'empire de l'Eau,Yvan Stefanovitch, Éditeur Ramsay Vilo 
Diffusion ISBN 2-84114-731-2

Anne Hidalgo, première adjointe, portrait de l'Humanité


Anne Hidalgo, quarante et un ans, élue dimanche première adjointe chargée de l'égalité femme-homme et du bureau des temps, est une nouvelle du Conseil de Paris. Elle y accède après avoir affronté aux municipales, dans le XVe, l'ancien premier ministre Edouard Balladur. 

Titulaire d'un DEA de droit social et syndical, inspectrice du travail (1982-1989), Anne Hidalgo a fait une ascension remarquée au PS dont elle n'est adhérente que depuis 1994. Maman de deux enfants de quinze et treize ans, elle est en charge de la formation professionnelle au secrétariat national du Parti socialiste. Avant la campagne des municipales, depuis novembre 2000, elle travaillait auprès de Marylise Lebranchu, ministre de la Justice, comme conseillère technique chargée du social. Auparavant, elle avait depuis 1997 travaillé aux côtés de Martine Aubry, ministre de l'Emploi et de la Solidarité. En 1998, elle est nommée conseillère auprès de Nicole Péry, secrétaire d'État à la Formation professionnelle, et participe à l'élaboration des lois sur la parité et l'égalité professionnelle entre hommes et femmes. 

Elle a été aussi chargée de mission auprès du directeur des ressources humaines de la Compagnie générale des Eaux (1996-1997). 

Anne Hidalgo condamnée ! - source Force Ouvrière


Anne Hidalgo, première adjointe au Maire et éventuelle future patronne des 50.000 fonctionnaires de la Ville de Paris a été condamnée à 40.000 € d’amende pour infraction à la législation sur la durée du travail au titre de ses fonctions de Présidente du conseil d’administration de l’ APUR. Rappelons tout de même que cette élue est chargée du bureau des temps à la Mairie de Paris et a également occupé des fonctions de Directrice départementale du Travail et d’ inspectrice du travail. Ça promet… 

Publié par FO CASVP-ce à 19:29 le 

jeudi 26 janvier 2012

Force Ouvrière Ville de Paris

Anne Hidalgo condamnée : des heures sup' à 40 000 euros !


Anne Hidalgo, première adjointe au Maire qui se rêve nuit et jour en future patronne des 50.000 fonctionnaires de la Ville de Paris, vient d'être condamnée, nous apprend le syndicat FO, à 40 000 € d’amende pour infraction à la législation sur la durée du travail au titre de ses fonctions de Présidente du conseil d’administration de l’APUR ! 

Autrefois chargée du bureau des temps à la Mairie de Paris, cette élue prompte à défendre la cause des travailleurs a également occupé des fonctions de Directrice départementale du Travail et d'inspectrice du travail. 

On n'est jamais si bien desservi que par soi-même ...


Condamnation d'Anne Hidalgo : la réponse de l'APUR


Hidalgo dénonce "les propos mensongers" de NKM dans le "JDD"


La députée de l'Essonne assure que sa rivale "a été condamnée en 2012 à 20 000 euros d'amende pour travail déguisé".

C'est un petit encart qui n'a eu l'heur de plaire Anne Hidalgo. Dans son édition du 31 mars, Le Journal du dimanche fait état d'une confidence assassine de Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate à la primaire de l'UMP pour la mairie de Paris, sur sa rivale socialiste. La députée de l'Essonne confie en avoir assez des "leçons de morale" de la première adjointe de Paris. "Cela ne l'a pas gênée d'être élue sur la liste de Jean-Paul Huchon, condamné pour prise illégale d'intérêts. Je rappelle qu'elle-même a été condamnée en 2012 à 20 000 euros d'amende pour travail déguisé à l'Atelier d'urbanisme de la Ville de Paris", s'agace l'ex porte-parole de Nicolas Sarkozy. 

Le scud de NKM qui ne passe pas

Nathalie Kosciusko-Morizet confie au JDD qu'Anne Hidalgo, sa potentielle concurrente pour la mairie de Paris, a été condamnée en 2012 à 20.000 euros d'amende pour travail déguisé. Preuve à l'appui, Anne Hidalgo dément l'information.


Alors qu'un sondage montre qu'Anne Hidalgo est loin de l'emporter largement à Paris en 2014, sa principale concurrente à droite, Nathalie Kosciusko-Morizet, a confié au JDD qu’elle en a assez des "leçons de morale" de la candidate socialiste à la mairie de la capitale.
Et l'ancienne ministre UMP d'expliquer : "Cela ne l’a pas gênée d’être élue sur la liste de Jean-Paul Huchon, condamné pour prise illégale d’intérêts. Je rappelle qu’elle-même a été condamnée en 2012 à 20.000 euros d’amende pour travail déguisé à l’Atelier d’urbanisme de la Ville de Paris. J’observe enfin que la conseillère de Paris Mireille Flam est mise en cause dans une affaire de favoritisme et toujours soutenue par Delanoë."

Boulogne Billancourt un petit miracle économique à la française ?


Texte de De Lima
Evènement exceptionnel dans le marasme économique que connait la France depuis maintenant 5 ans, la note de référence à long terme d’une commune française, Boulogne-Billancourt, a été relevé par une agence de notation, Standard&Poor’s, passant de AA- à AA. Il s’agit d’un cas unique en France en 2012. L’évènement est d’autant plus spectaculaire qu’en 2008, année de l’arrivée du maire actuel Pierre-Christophe Baguet, la commune avait subi une baisse de sa note alors que la crise économique ne faisait que commencer. Et voilà qu’en ce début d’année 2013, Boulogne Billancourt se taille une place de choix dans le palmarès des rares huit collectivités territoriales françaises notées AA. Autre bonne nouvelle, sa note de référence à court terme est maintenue à la note maximale dans le barème de l’agence Standard&Poor’s, c’est-à-dire A-1+
La recette de ce succès ? S&P rend grâce « à une stratégie budgétaire claire qui s’est traduite par une réduction forte de la dette directe (moins 43 millions d’euros en trois ans), à un pilotage budgétaire de qualité, à une prospective financière réaliste, ainsi qu’à une gestion de la dette et de la trésorerie prudente et optimisée. » De plus, l’agence de notation qui surveille de près la santé économique de la commune depuis 1997 souligne avant tout la gouvernance et la gestion financières des comptes publics « de qualité », la situation de liquidité « confortable » et bien sûr un profil socio-économique très favorable.

Montrouge : c’est la 333e station de métro



«C’est un grand jour parce qu’on parle de ce prolongement depuis 1928 ! Je suis persuadé que le tiers des Montrougiens ont acheté leur appartement avec la promesse du ... » Jean-Loup Metton, le maire (UDI) de Montrouge, est aux anges. Depuis hier, sa ville accueille la 333e station de métro, la 27e de la ligne 4. Après 6 ans et 185 millions d’euros de travaux, la ligne est plus longue de 1,4 km. 


C’est la deuxième plus empruntée avec 674 000 voyageurs quotidiens. « Cette extension va permettre à 40 000 habitants d’avoir accès au métro. C’est la deuxième fois cette année que nous franchissons le périphérique (NDLR : après le prolongement de la ligne 12 vers Aubervilliers)», fait valoir Pierre Mongin, le PDG de la .

Prochaine étape : création des stations Verdun Sud et Bagneux

Municipales de Paris : Anne Hidalgo menacée par NKM

Selon un sondage, la candidate PS aux municipales à Paris en 2014, l'emporterait au second tour de peu face à l'UMP Nathalie Kosciusko-Morizet, mais plus largement face à Rachida Dati.
Nathalie Kosciusko-Morizet, qui a déclaré son intention de briguer la mairie de Paris en 2014, pourrait créer la surprise dans la capitale. Contre toute attente, la favorite socialiste,Anne Hidalgo, ne dominerait la candidate UMP que d'un point au premier tour (34% contre 33%), et de deux au second (51 contre 49), selon un sondage BVA pour Le Parisien publié samedi.
Ainsi, dans l'hypothèse d'une candidature de NKM, au premier tour, la candidate UMP se placerait devant la liste écologiste de Cécile Duflot (8%), celle du Front de gauche Ian Brossat (8%), de la Modem Marielle de Sarnez (7%), de l'UDI Rama Yade (5%), et celle du FN Wallerand de Saint-Just (5%).

Municipales 2014: NKM pourrait créer la surprise à Paris face à Anne Hidalgo


Selon un sondage BVA publié ce samedi, les deux candidates ne seraient séparées que d'un point au premier tour, et deux points au second...

Nathalie Kosciusko-Morizet, qui a déclaré son intention de briguer la mairie de Paris en 2014, pourrait créer la surprise dans la capitale, suggère un sondage BVA pour Le Parisien publié samedi.
La favorite socialiste, Anne Hidalgo, ne dominerait la candidate UMP que d'un point au premier tour (34% contre 33%) et de deux au second (51 contre 49).

NKM largement préférée à Rachida Dati

Autre enseignement du sondage, les Parisiens dans leur ensemble (70% contre 26%), tout comme les sympathisants de droite (79% contre 19%) et en particulier de l'UMP (82% contre 17%) souhaitent très nettement que Nathalie Kosciusko-Morizet soit la candidate de l'UMP plutôt que Rachida Dati.

Elections municipales à Paris: Anne Hidalgo battrait Nathalie Kosciusko-Morizet d'une courte avance



Anne Hidalgo, candidate PS aux municipales à Paris en 2014, l'emporterait au second tour d'une courte tête (51%/49%) face à l'UMP Nathalie Kosciusko-Morizet, mais plus largement (58%/42%) face à Rachida Dati (UMP), selon un sondage BVA pour le Parisien dimanche.



Source l'Express

Candidature PS à Paris : Anne Hidalgo à l'unanimité ?

Sauf surprise de dernière minute, le PS n’aura pas à organiser de primaire pour les municipales de 2014 à Paris. C’était en effet le 29 que les socialistes devaient clore la remise des candidatures pour préparer les prochaines élections.

Carte des prix du m² par station de métro

La carte est disponible sur le site Meilleurs Agents


Stations les plus chères

  • 1.Invalides m8 m1314 221 €
  • 2.Solférino m1214 033 €
  • 3.Rue du Bac m1213 958 €
  • 4.Saint-François-Xavier m1313 791 €
  • 5.Assemblée Nationale m1213 557 €
  • 6.Varenne m1313 537 €
  • 7.Saint-Sulpice m413 495 €
  • 8.Saint-Germain-des-Prés m413 433 €
  • 9.Sèvres - Babylone m10 m1213 245 €
  • 10.Mabillon m1013 232 €

Stations les moins chères

  • 1.Saint-Denis - Université m132 996 €
  • 2.Asnieres-Gennevilliers Les Courtilles m133 055 €
  • 3.Créteil - Université m83 089 €
  • 4.Bobigny - Pablo Picasso m53 110 €
  • 5.Saint-Denis - Porte de Paris m133 211 €
  • 6.Créteil - Préfecture m83 264 €
  • 7.Basilique de Saint-Denis m133 284 €
  • 8.La Courneuve - 8 Mai 1945 m73 291 €
  • 9.Fort d'Aubervilliers m73 300 €
  • 10.Carrefour Pleyel m133 323 €

Une candidate libérale à la mairie de Paris ?


Douce de Franclieu, candidate libérale à différentes élections, se présente à la primaire UMP pour la mairie de Paris et collecte des parrainages à cette fin.

Primaires à l'UMP... C'est mal barré - le point de vue d'une blogueuse de la gauchosphère Leftblogs


Primaires à l'UMP
"Je ne vis pas à Paris mais comme bon nombre de Franciliens, je suis de près ce qui s'y passe.
Et forcément, les municipales aussi.
Évidemment, si j'étais parisienne, je voterais pour Anne Hidalgo tu t'en doutes.
Mais j'attends aussi avec impatience la saison 2 du psychodrame à l'UMP qui vient de confirmer la tenue de primaires pour désigner le ou la candidat-e qui se présentera.
Je te vois venir UMPiste. Je suis cynique oui. Mais je suis aussi démocrate. Alors évidemment je ne souhaite pas à l'UMP de revivre le même bordel qu'à l'automne. 
Sauf qu'au fond de moi, je dois reconnaître que j'ai bien rigolé cet automne et que je ne serais pas contre une nouvelle poilade au printemps.
Bref.
Donc, pour l'heure, la saison 2 du psychodrame, c'est maintenant.

6 candidats se sont donc officiellement lancés dans la course à l'Hôtel de Ville de Paris:
  • Nathalie Kosciusko-Morizet 
  • Rachida Dati 
  • Jean-François Legaret 
  • Pierre-Yves Bournazel 
  • Franck Margain 
  • Douce de Franclieu
Tu ne connais pas Douce de Franclieu? Moi non plus. "

La suite sur le blog Libre Affichage, rédigé par Elooooody, Leftblogs

Prenez des cours de cuisine sur les marchés parisiens



Un marché parisien, une heure de cours en matinée, huit participants. Telle est l'équation gagnante imaginée par la mairie de Paris et la Fédération Française de Cuisine Amateur (FFCA). Pour la quatrième année consécutive, une trentaine de leçons gratuites sont organisées, de mars à octobre, dans les différents marchés de la capitale.
Des cours de cuisine en plein air, dispensés sur un stand équipé, par des chefs ou des enseignants d'écoles de cuisine du quartier, ouverts à tous, pour apprendre à travailler les produits frais vendus sur place, découvrir des techniques (lavage, découpe, cuisson...) et des alliances de saveurs.

Les parisiens pourront bientôt être verbalisés grâce à la vidéosurveillance

La préfecture de police de Paris vient d’annoncer qu’elle allait expérimenter à partir du 2 avril prochain la vidéo-verbalisation. Autrement dit : la possibilité d’adresser des contraventions aux conducteurs en infraction par rapport au Code de la route (stationnement en double-file, feu rouge grillé, etc.) grâce aux caméras de surveillance dispersées dans la capitale. 

Les cadres parisiens rêvent d'exode dans le Sud-Ouest


Plus de huit cadres parisiens sur dix envisagent de changer de région, beaucoup songeant à quitter la grisaille de la capitale pour le Sud-Ouest ensoleillé, selon une étude publiée dimanche par Cadremploi.
Selon cette enquête, 86% des cadres pensent à quitter la région parisienne, plus d’un tiers (38%) envisageant de le faire dans l’année.
Interrogés sur leurs motifs, 27% évoquent l’équilibre vie privée-vie professionnelle, 18% l’attrait de la ville ou de la région, et autant le prix de l’immobilier. Viennent ensuite la question d’un changement de carrière ou d’orientation, un rapprochement familial ou encore le niveau de rémunération.
Pour se retrouver dans une nouvelle région, 70% des cadres seraient prêts à changer de métier ou de secteur. Ce sont avant tout les régions du Sud-Ouest qui attirent le plus les cadres (27%), devant le Sud-Est (23%) et l’Ouest (20%), le Centre, l’Est et le Nord étant les moins attractifs.
L’enquête a été réalisée du 19 au 21 mars par questionnaire auto-administré en ligne auprès d’un échantillon de 1.134 cadres parisiens inscrits sur Cadremploi.


Huit cadres Parisiens sur dix veulent quitter Paris

Plus de huit cadres parisiens sur dix envisagent de changer de région, beaucoup songeant à quitter la grisaille de la capitale pour le Sud-Ouest ensoleillé, selon une étude publiée dimanche par Cadremploi. Selon cette enquête, 86% des cadres pensent à quitter la région parisienne, plus d'un tiers (38%) envisageant de le faire dans l'année. Interrogés sur leurs motifs, 27% évoquent l'équilibre vie privée-vie professionnelle, 18% l'attrait de la ville ou de la région, et autant le prix de l'immobilier. Viennent ensuite la question d'un changement de carrière ou d'orientation, un rapprochement familial ou encore le niveau de rémunération.

Source LCI