lundi 20 avril 2015

Communisme : les propos du député socialiste parisien @CCaresche salués




20 kg / personne ! @Arash Derambarsh en guerre contre le #GaspillageAlimentaire

@Anne_Hidalgo, maire de @Paris, "fière de sa majorité

75017 - T3: Le tram le plus cher de France

Le JDD s’est prêté à quelques calculs. La portion sud du T3 a coûté 315 millions d’euros (dont 66 millions pour les 21 rames), soit 39,3 millions le kilomètre. Le tronçon en construction jusqu’à la porte de la Chapelle est, quant à lui, estimé à 887 millions d’euros (dont 149 millions pour les "aménagements qualitatifs" et 86 millions pour les 26 rames), soit 61 millions le kilomètre. 

Enfin, la dernière tranche en projet jusqu’à la porte d’Asnières est d’ores et déjà chiffrée à 350 millions d’euros (dont 150 millions pour l’aménagement urbain) pour 4,7 km, soit 74,5 millions le kilomètre… Sans compter le matériel roulant. 

Ces coûts sont à mettre en parallèle avec ceux des tramways en construction en région: 16 millions le kilomètre pour celui de Besançon, présenté comme "le moins cher de France"; 19,5 millions le kilomètre à Toulouse; 20 millions le kilomètre au Mans; 24,9 millions le kilomètre à Tours…

75015 - Nouvelle #TourTriangle en vue ?

La @_LICRA_organise un débat sur les #Roms à Paris ce lundi 20 avril

75016 - Extension de #RolandGarros : les deux options


75010 - [LES INFOS DU 10e] Le magazine municipal de la @Mairie10Paris est disponible

75010 - La #GareduNord va se transformer en boite de nuit géante

A partir du 16 mai, @Paris ouvre ses équipements pour les petits Parisiens.

#GrandParis: osons la suppression de la municipalité de @Paris !

Pour remédier à la coupure Paris/banlieue et pour que la métropole du Grand Paris ne soit pas juste un échelon bureaucratique supplémentaire, une double solution serait de supprimer la municipalité de Paris et de redécouper de nouveaux arrondissements-communes qui s'étendraient de par et d’autre du Boulevard périphérique. Une tribune de Laurent Chalard, géographe.
La carte administrative de l’agglomération parisienne apparaît comme singulière par rapport aux autres grandes métropoles de la planète, avec une commune-centre de faible superficie et peu peuplée (1/5e de la population totale) dont les limites recouvrent totalement une coupure urbaine majeure, en l’occurrence celle du Boulevard Périphérique, correspondant à d’anciennes fortifications. Cette situation entraîne une opposition entre un «intérieur», que l’on dénomme Paris intra-muros, et un «extérieur», la banlieue, au fonctionnement politique différencié et aux intérêts divergents.
La ville-centre regroupe les activités économiques, les équipements, les symboles du pouvoir, et présente un profil social plus élevé, alors que les autres communes accueillent tout ce dont la capitale n’a pas envie: les activités fortement consommatrices d’espace et/ou sources de nuisances, les populations précarisées… Les autorités politiques parisiennes, quelle que soit leur couleur politique, se comportent de manière égoïste, s’évertuant par tous les moyens à garder le maximum d’activités sur le territoire communal plutôt que d’accepter que certains équipements partent en banlieue, comme en témoigne le projet d’extension de Roland Garros sur les serres d’Auteuil.
Face à ce constat, qui n’a rien de nouveau, deux solutions se présentent à l’Etat dans l’optique de la gestion du Grand Paris.

75010 - Décès dans un commissariat : @julienbayou (@eelv) réclame de la transparence

Compétente mais très marquée politiquement. Elisabeth Borne prend la tête de la #RATP

Les Parisiens du @PSG_inside et notamment @Ibra_official sont en route pour Barcelone

Paris 75010 : mort au commissariat

Les proches d'un père de famille de l'Aisne, décédé début mars après son interpellation musclée à Paris (Xe), réclament des explications qui tardent à venir.


Amadou Koumé avait 33 ans. Ce père de deux enfants, originaire de Saint-Quentin (Aisne), est mort dans la nuit du 5 au 6 mars dernier au commissariat du Xe arrondissement de Paris.
Cet intérimaire, venu chercher un emploi dans la capitale, avait été interpellé quelques heures plus tôt, à proximité d'un café du secteur de la gare du Nord. Ce décès dans une enceinte de police n'avait jusqu'ici jamais été ébruité.

Dans un premier temps, le parquet de Paris avait ouvert une enquête préliminaire pour recherche des causes de la mort, avant de requalifier très rapidement les faits en homicide involontaire. L'enquête a été confiée à l'inspection générale de la police nationale (IGPN). Mais, depuis l'annonce de ce décès brutal, les proches d'Amadou Koumé vivent dans l'incompréhension et se sentent exclus de la procédure.

Les Maires des grandes villes africaines étaient réunis à #Paris pour une électrification durable en #Afrique

“Stop #Monop' !” : l’auto-financement du logement social contre l’appropriation citoyenne de la ville, par Danielle ‏@simonnet2014

Le collectif StopMonop’ s’est constitué en 2011 contre l’implantation d’un énième supermarché dans le 10e. Je vous invite à signer leur pétition et à la relayer ! Une lutte similaire se poursuit dans le 18e, voici le lien vers leur pétition à soutenir également.

Il sera reçu ce lundi 20 avril par Ian Brossat, adjoint à la Maire de Paris chargé du logement. C’est toute la question du financement des logements sociaux et de l’appropriation de la ville par ses habitants qui est au cœur de cette mobilisation.

Le collectif StopMonop’ a déjà réussi à faire renoncer à Paris Habitat à installer un Monoprix dans les locaux commerciaux du rez de chaussée d’un immeuble HLM à l’angle Bichat-Faubourg du Temple. Il a obtenu que cette surface de plus de 400 m2 soit fractionnée et que cinq projets issus des habitants soient pris en compte dans l’appel à projets lancé pour les locaux du rez-chaussée de l’ensemble immobilier.

En images : voilà à quoi ressemblent les habitants des “No-Go Zones”

Julien Bottriaux utilise son temps libre pour donner la parole aux habitants des “No-Go Zones”, ces zones de non-droit soulignées faussement par la chaîne Fox News. Pour Konbini, il revient sur dix rencontres.

La suite : Konbini

Champs-Elysées : les 24 heures Vélib’ auront lieu le 14 juin

75018 - #1anParis18 : message d'@EricLejoindre (PS), maire du XVIIIeme arr


#1ANPARIS18 Message d'Eric Lejoindre par MAIRIEDEPARIS18

Éboueur, un métier qui séduit

La régie municipale @eaudeparis justifie ses bénéfices

Le courrier des @Pompiers_Paris enflamme les mairies du @val_de_marne

La Brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) a d’abord déploré une « incompréhension » avant d’admettre que son courrier « prête à mauvaise interprétation ». Certaines mairies du Val-de-Marne exigent tout simplement un démenti.

Le 12 février, le général Gaétan Poncelin de Raucourt, commandant de la BSPP, annonçait aux municipalités que l’unité « recentre ses missions autour du secours d’urgence […] ». Les « notions ambiguës d’assistance et de détresse » ont été supprimées, ajoute-t-il, précisant que « la prise en compte du volet social est désormais clairement exclue de nos missions ». Plus bas, le général demande aux maires de bien vouloir « redynamiser [leurs actions] dans ce domaine », afin notamment d’« atténuer l’empreinte opérationnelle de la BSPP ».

75013 - Le reportage #EnquêteExclusive ( @m6) : "Paris XIIIème : police des stups" fait réagir

REVUE DE TWEETS – Dimanche 19 avril, sur M6, Bernard de la Villardière montrait dans "Enquête exclusive" la face cachée d'un arrondissement parisien en pleine expansion immobilière, et en pleine déliquescence à la fois. Qui l'eut cru ?

Longtemps resté en friche, le XIIIe arrondissement parisien était un quartier tranquille. Jusqu'à ce que les millions d'euros dépensés pour sa rénovation (construction d'immeubles de bureaux, d'établissements culturels) fassent flamber l'immobilier et voient se développer une mafia locale.
Vols, agressions, bandes rivales : selon Enquête exclusive, la délinquance mine l'arrondissement, devenu une place forte du trafic de stupéfiants pour toute la banlieue sud de Paris.

Vacances de printemps : les bons plans pour les enfants à @Paris

Une place pour débastiller les Roms

La journée internationale des Roms est devenue l’occasion de faire entendre leur voix, mais l’écho encore très faible. Hana s’est rendue à la Bastille samedi 11 avril, à l’occasion d’un concert de soutien.
Dans le cadre de la journée internationale des Roms le 8 avril dernier, Amnesty International France a organisé pour la 2ème édition, le 11 avril, un événement festif et militant sur la place de la Bastille. De 14h30-16 h30, des personnalités politiques, des artistes et des Roms ont pris la parole pour témoigner de leurs parcours afin de lutter contre les préjugés. L’intérêt d’un tel événement est de donner une vraie place aux Roms, que ce soit en matière de logement, d’emploi et de droits. Ils veulent simplement croire en l’avenir, ni plus et ni moins.
En Europe, il y aurait entre 7 et 10 millions de Roms et 18 000 dans l’Hexagone. Pour la petite histoire, c’est lors du premier Congrès mondial tzigane d’avril 1971 à Londres que la communauté a choisi le 8 avril comme date de célébration pour l’ensemble de la communauté Rom dans le monde. Une opportunité de faire connaître la culture et leur histoire, très méconnue des Européens.

"Plutôt sympa!", par Sophie de Menthon

La pensée réduite à sa plus simple expression ou comment un tweet devient le révélateur des plus symptomatiques problèmes de notre société.
En entendant un matin sur toutes les antennes le terrifiant sondage disant que "100% des femmes" se disaient harcelées dans les transport en commun et le vivaient comme une agression je me suis sentie autorisée à réfléchir et à tenter de comprendre ce que cette peur collective signifiait et ce que la réalité de ce vécu impliquait, autorisée à tenter d'aller plus loin que l'info brut qui tombait comme une guillotine. "100% des femmes," la statistique en elle même laisse abasourdie.
Comment et pourquoi les Françaises sans exception avaient-elle le sentiment d'être harcelées? Je fouillais dans mes propres souvenirs, revivant la crainte de la rue déserte le regard inquiétant dans le métro, le type qui vous suit et que vous tentez de semer, l'intuition qu'il faut changer de trottoir, le geste déplacé... Oui, nous l 'avons toutes vécues, avec plus ou moins d'intensité et de violence. Mais parce que ces situations ne sont ni identiques, ni équivalentes, il m'a paru utile de relativiser ces menaces bien réelles ne serait-ce justement que pour protéger, punir, et distinguer ce qui relève du harcèlement de ce qui constitue le quotidien des rapports hommes-femmes aujourd'hui et depuis des siècles au pays de l'amour courtois. Déclarer une guerre des sexes sans nuance me semble dangereux et improductif, or la lutte des classes devient la lutte des sexes. Faut-il inclure la "drague" même pénible dans ce qui peut être assimilé à une forme de délinquance et d'agression caractérisée?

A @Paris, les bureaux se transforment en logements

75012 - @Benoitpernin (#UDI) : @SorbonneParis3 dans le 12eme, une bonne nouvelle


sorbonne nouvelle.png
Dans une note en date du mois d’octobre 2013, nous nous félicitions de l’annonce du déménagement de l’université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, dans notre 12eme arrondissement. L'université va déménager à la rentrée 2018 dans des locaux neufs dans le 12e arrondissement de Paris. Ce bâtiment sera construit sur un terrain appartenant actuellement au ministère de l’agriculture. C’est donc un campus innovant et écologique de près de 35 000m² de surfaces nouvelles (SHON) qui sera construit au cœur du 12eme arrondissement répondre aux besoins de développement d’une université d’arts, lettres et langues et Sciences Humaines et Sociales Humaines et Sociales. 

Ce projet repose sur un plan de financement validé de 135 millions d’euros qui associera l’État et la Région Ile de France dans le cadre d’une maîtrise d’ouvrage publique. C’est  l'architecte Christian de Portzamparc qui a été désigné le 22 septembre 2014 lauréat du concours pour la construction du pôle Nation de l'Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3. Cette prochaine arrivée va devenir un atout pour tout un quartier !


@FrancoisFillon (@ump) aux mardis de l’ESSEC

@Celia_Blauel (#EELV) "déplore que des entreprises fassent du profit sur l’eau"


NDLR : en 2014, la régie publique Eau de Paris, dont le conseil d’administration est présidé par Célia Blauel, a dégagé un résultat positif (i.e profits ou bénéfices) de 50,66 millions d’euros