Vendredi dernier, le président de l’UMP réunissait au siège du parti ses soutiens parisiens inquiets d’être « maltraités » par la tête de liste, Nathalie Kosciusko-Morizet.
Étaient présents, entre autres, Pierre-Yves Bournazel, élu dans le XVIIIe et porte-parole de campagne de NKM, Pierre Charon, conseiller de Paris (XVe), Brigitte Kuster (XVIIe), etc. « Si l’on n’obtient pas les places qu’on souhaite en position éligible, on devra monter des listes dissidentes », a suggéré l’un des participants à cette réunion discrète. Jean-François Copé ne l’a pas désavoué, précisant qu’« il faudra de toutes façons mettre la pression sur NKM » pour obtenir gain de cause.
L’atmosphère générale de la conversation n’était guère à la fête. Copé et ses amis trouvent « décevant » le début de campagne de NKM, « trop nationale » à leurs yeux et ne parlant « pas assez aux Parisiens ».
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