dimanche 25 août 2013

PSG : le match NKM-Hidalgo

Marie-Claire Carrère-Gée (@MCCG) dénonce le « mode barbouze » de #NKM

Marie-Claire Carrère-Gée (à g.) affirme que Nathalie Kosciusko-Morizet doit intégrer son équipe si elle veut se présenter dans le XIVe.

Source : le Parisien

Julien Boucher, directeur de #Macaq, interviewé pour une sous-location illégale de bureaux



Lire aussi :

On était à Red Star – Paris FC

Vendredi soir, pour le compte de la troisième journée de National, le Red Star affrontait le Paris FC. Le Nord contre le Sud. Le XIIIe arrondissement contre le 9-3. Bauer contre Charléty. La « capitale » contre la « banlieue ». Dommage, c'était pas aussi épique que ça en avait l'air.

19h30. Aux abords du stade, rue du Docteur Bauer. Le match n'a pas encore débuté. Un petit groupe de supporters du Paris FC débarque en trombe, chants à l'appui, tous bras levés. BOUM ! Un énorme pétard éclate. On se dit que, même en comité réduit, les mecs du PFC ne sont pas venus pour beurrer les sandwichs. Sauf que non. Un riverain sort à la fenêtre et dégomme verbalement le groupe de supporters qui, lui, s'excuse platement. Une symbolique toute trouvée pour un match poussif qui, à défaut de régaler un derby plein d'enjeu, a surtout offert crispation et déception. Un pétard mouillé, quoi.

@Anne_Hidalgo, Candidate PS à la mairie de Paris sera l'invitée politique de @LaurenceFerrari et son équipe ce lundi dès 18h

Christian Saint-Étienne (#UDI Paris) : quelle stratégie pour demain ? - une conférence du @PartiLiberal




Publiée le 23 févr. 2013
Reçu par Aurélien Véron, Christian Saint-Étienne a présenté une stratégie pour ré-industrialiser la France, renouer avec l'emploi, l'innovation et la croissance.

Bertrand Delanoë inaugure l'Esplanade de la Libération

La petite ceinture poursuit sa reconquête

Un peu moins d’un kilomètre supplémentaire, ça n’usera pas beaucoup les souliers mais « c’est bien agréable de pouvoir aller de Balard vers La Plaine par ce chemin très naturel! » Samir

Logement : le judicieux calcul de Marielle de Sarnez

J'ai entendu plusieurs fois Marielle de Sarnez prévoir de ramener les institutionnels sur le marché de la propriété à Paris. Pour un non-initié, cette mesure pour le logement peut paraître étrange. Un gaucho de base pourrait même penser qu'il ne s'agit là que de rameuter le ban et l'arrière ban du capitalisme étrangleur du petit peuple.

Il n'en est rien. En fait, il faut avoir cherché à se loger à Paris pour comprendre ce que Marielle de Sarnez a derrière la tête. En fait, on n'imagine pas à quel point un rapace sommeille en chacun de nous. Il n'y a de pire bailleur que le particulier. Le particulier propose des baux prohibitifs, n'entretient pas son bien et rechigne aux travaux qu'il est pourtant légalement dans l'obligation de réaliser. Et que l'on ne s'y trompe pas : les opinions politiques n'ont pas cours dans la pensée du bailleur particulier. Pas de pitié pour les canards boiteux. Tout bailleur est persuadé de proposer un palace à la location. On médit des marchands de sommeil, mais qu'on se dise bien que le Parisien bailleur en est un en puissance. Consolation corollaire, le locataire vaut bien son bailleur : il dégrade, exige, reste sans régler son loyer, pinaille pour tout et n'assure pas plus que le bailleur l'entretien dont il devrait se charger.

Au pied de la Tour Eiffel, les tuk-tuk se multiplient

Les touristes parisiens peuvent visiter la capitale à bord de tuk-tuk. Le commerce fleurit même s'il est dans le viseur de la police.
Indissociables de certaines villes d'Asie, les tuk-tuk chargés de touristes prospèrent depuis deux ans à Paris. Ce commerce florissant est toutefois dans le viseur de la police.
Les taxis officiels ont vu arriver
d'un mauvais œil cette nouvelle concurrence.

Ces engins motorisés à trois roues, constitué d'un avant de scooter prolongé par une carriole recouverte d'une capote, prolifèrent au pied des monuments de la Ville Lumière, de la Tour Eiffel à la place de la Concorde.
Alors qu'ils étaient une dizaine lors de leur apparition en 2011 dans la capitale française, le nombre de ces engins multicolores au look rétro, venus de Thaïlande, a été multiplié par cinq selon la police. Celle-ci a renforcé les contrôles depuis le début de l'été.
"C'est le chômage partout, on a trouvé une activité qui plaît aux touristes, mais on est harcelé par la police, alors qu'elle sait très bien qu'il y a un flou juridique", rouspète un des chauffeurs de tuk-tuk.
Ce n'est pas la première fois cet été que cet homme de 29 ans est contrôlé. Déclaration à l'administration du travail, signalétique, entretien, assurance, visite médicale, tout est en règle, selon Nino, un policier qui vient de contrôler plusieurs de ces petits véhicules.

Métropole Paris: L’#UDI 95 dénonce « un mépris du gouvernement pour les élus de la Grande couronne »



Le nouveau texte qui sera présenté mardi prévoit de regrouper Paris et les départements de Petite Couronne au sein d'une Métropole. Il est question d’une nouvelle institution qui s'imposera dès 2015 aux maires de 124 communes proches de Paris. Des élus qui verraient leurs compétences réduites, cette Métropole aura notamment la main sur la politique du logement.

Rédigé le 12/07/2013 Alors que l’Assemblée nationale examinera mardi le texte sur la Métropole de Paris, Michel Montaldo Président de l’UDI Val d’Oise denonce « un mille feuille administratif » et s'inquiète de voir le Val d'Oise devenir « la base arrière de la petite couronne avec toutes les conséquences négatives qui en découleront ».


Si des maires en petite couronne s’élèvent contre le projet de loi, en grande couronne aussi ça tousse et notamment dans le Val d’Oise. « Ce projet de réorganisation institutionnelle de l'Ile de France, supposée répondre aux problèmes du logement, de l'urbanisme, du développement durable..., va évincer les départements de la Grande Couronne, excluant plus de cinq millions de franciliens », dénonce Michel Montaldo, président de l’UDI Val d’Oise et vice président du Conseil général.

Il s'inquiète d' « un mille feuille administratif » et redoute que le Val d'Oise ne devienne « la base arrière de la petite couronne avec toutes les conséquences négatives qui en découleront ». Et il dénonce « un mépris du gouvernement pour les élus de la Grande couronne ».

Face à un dossier loin des préoccupations premières du citoyen, Michel Montaldo interpelle les franciliens sur « l'aggravation prévisible de la fiscalité car ces nouvelles structures administratives auront obligatoirement un coût de fonctionnement ».

Source : Val d'Oise News

A la demande de sa compagne, #Valls chasserait les SDF du quartier de la Bastille

Selon le Canard Enchaîné, Manuel Valls aurait donné pour consigne la "tolérance zéro" dans son quartier pour les Roms et les SDF, à la demande de sa compagne, la violoniste Anne Gravoin. Le cabinet du ministre dément.  



Installé avec sa compagne Anne Gravoin dans le XIe artrondissement de Paris, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls aurait donné des consignes pour chasser les SDF de son quartier, rue de la Roquette, lesquels importuneraient son épouse. C'est le Canard enchaîné qui l'affirme dans son édition du mercredi 24 octobre. 
Le journal satirique raconte qu'"à tour de rôle, les poulets du XIème arrondissement déboulent, font la tournée des SDF et leur ordonnent de déguerpir (....) Les flics finissent parfois par ce terrible aveu: 'C'est une décision du ministère de l'Intérieur'". 

Interrogé par le journal, le cabinet du ministre "jure que le ministre n'a fait aucune demande privative, qu'il n'y a aucune consigne".



La suite :  L'Express 

Anne #Hidalgo, entre vrai et faux sur le logement à Paris

Anne Hidalgo, première adjointe de Bertrand Delanoë et candidate PS à la mairie de Paris, était dimanche 2 juin l'invitée de "Tous politiques", sur France Inter, dont Le Monde est partenaire. Comme chaque semaine, nous avons passé au crible ses déclarations.

1/ Combien de logements vacants à Paris ?
Ce qu’elle a dit : "Il y a en tout 200 000 logements vacants [à Paris] et, sur ces 200 000, 140 000 qui doivent pouvoir être mobilisés pour de la location."

Pourquoi c’est faux : avec la crise et les prix exorbitants des loyers à Paris, la question des logements vacants dans la capitale revient régulièrement sur le devant la scène. La ministre du logement, Cécile Duflot, a lancé en décembre une campagne de réquisition.
Depuis le début de l’année, les services de l’Etat ont ainsi commencé à évaluer les logements vacants et ceux qui pourraient être réquisitionnés. Anne Hidalgo exagère ces deux chiffres. Selon l’Insee, Paris compte 122 700 logements vacants et non 200 000. Ce nombre grimpe en revanche à 329 000 à l’échelle de la région Ile-de-France.

Paris ! Paris outragée ! Paris brisée ! Paris martyrisée ! mais Paris libérée !




"Pourquoi voulez-vous que nous dissimulions l'émotion qui nous étreint tous, hommes et femmes, qui sommes ici, chez nous, dans Paris debout pour se libérer et qui a su le faire de ses mains. Non ! nous ne dissimulerons pas cette émotion profonde et sacrée. Il y a là des minutes qui dépassent chacune de nos pauvres vies.

Paris ! Paris outragée ! Paris brisée ! Paris martyrisée ! mais Paris libérée ! libérée par elle-même, libérée par son peuple avec le concours des armées de la France, avec l'appui et le concours de la France tout entière, de la France qui se bat, de la seule France, de la vraie France, de la France éternelle.

Eh bien ! puisque l'ennemi qui tenait Paris a capitulé dans nos mains, la France rentre à Paris, chez elle. Elle y rentre sanglante, mais bien résolue. Elle y rentre, éclairée par l'immense leçon, mais plus certaine que jamais, de ses devoirs et de ses droits.

Je dis d'abord de ses devoirs, et je les résumerai tous en disant que, pour le moment, il s'agit de devoirs de guerre. L'ennemi chancelle mais il n'est pas encore battu. Il reste sur notre sol. Il ne suffira même pas que nous l'ayons, avec le concours de nos chers et admirables alliés, chassé de chez nous pour que nous nous tenions pour satisfaits après ce qui s'est passé. Nous voulons entrer sur son territoire comme il se doit, en vainqueurs. C'est pour cela que l'avant-garde française est entrée à Paris à coups de canon. C'est pour cela que la grande armée française d'Italie a débarqué dans le Midi ! et remonte rapidement la vallée du Rhône. C'est pour cela que nos braves et chères forces de l'intérieur vont s'armer d'armes modernes. C'est pour cette revanche, cette vengeance et cette justice, que nous continuerons de nous battre jusqu'au dernier jour, jusqu'au jour de la victoire totale et complète. Ce devoir de guerre, tous les hommes qui sont ici et tous ceux qui nous entendent en France savent qu'il exige l'unité nationale. Nous autres, qui aurons vécu les plus grandes heures de notre Histoire, nous n'avons pas à vouloir autre chose que de nous montrer, jusqu'à la fin, dignes de la France.

Vive la France ! "

25 Août 1944,
Charles de Gaulle

#UEPS 2013 à la Rochelle- : les socialistes parisiens s'expriment avant #Paris2014










Une vague de vandalisme frappe les locaux du #PS à #Paris

Trois permanences du Parti Socialiste ont été dégradées dans la nuit de mardi à mercredi, s’ajoutant à de nombreux actes de vandalismes dont ont été victimes les locaux du parti depuis le début de l'année...


Et ça continue encore et encore, et ce n’est pas qu’un début, les socialistes sont d’accord. Dans la nuit de mardi à mercredi, trois nouveaux locaux du Parti socialiste ont été vandalisés dans les 3e, 10e et 20e arrondissements de Paris. Le mot «Fachos» ainsi que le symbole des anarchistes (la lettre A entourée d’un cercle), ont été tagués sur la façade du local située dans le 3e et la serrure a été remplie de mastic, précise-t-on du côté de la mairie PS de cet arrondissement.

Une plainte déposée dans l’après-midi

«Il s’agit d’un acte scandaleux et inadmissible dans une démocratie, a déclaré dans un communiqué Pierre Aidenbaum, maire du 3e. Les socialistes en général et les militants du 3e en particulier ne se laisseront pas intimider par des méthodes fascistes de quelques imbéciles retardés.» L’édile précise d’ailleurs qu’une plainte sera déposée dans l’après-midi.
De son côté, le maire du 10e arrondissement, Rémi Féraud, se désole de ce nouvel acte de vandalisme. 

Un maire parisien avoue "la magouille" des logements sociaux


Un maire parisien avoue "la magouille" des... par bakchichinfo

Logement : les propositions de NKM et Hidalgo pour Paris

Les deux principales candidates à la mairie de Paris en 2014 dévoilent peu à peu leurs propositions, notamment en matière de logement. Logement social et intermédiaire, prix de l'immobilier, le point sur les pistes de Nathalie Kosciusko-Morizet et Anne Hidalgo.
A l'occasion des prochaines élections municipales (9 et 16 mars 2014), la campagne électorale va se concentrer notamment sur le thème du logement à Paris. Et pour cause : entre des loyers particulièrement élevés et un prix moyen du mètre carré qui excède les 8.000 euros, de nombreux Parisiens ou nouveaux arrivants peinent à trouver un toit dans la capitale.




Cette problématique prégnante est donc sans surprise au cœur des propositions des deux favorites du scrutin, Anne Hidalgo (PS) et Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP). Si les idées divergent, les deux candidates mettent l'accent sur la question du logement social et du prix des logements.


NKM : un logement intermédiaire pour chaque logement social

Les propositions de la candidate désignée par la primaire de l'UMP tournent essentiellement autour du logement social. En particulier, Nathalie Kosciusko-Morizet souhaite associer la construction de nouveaux logements sociaux à celle de logements intermédiaires. Ainsi, pour chaque logement social supplémentaire, un logement intermédiaire serait également construit, de manière à développer une offre « à destination des classes moyennes ».

A Paris, le nord du 19e arrondissement se métamorphose en un quartier à part entière

A Paris, le nord du 19e arrondissement est sens dessus dessous. Une douzaine de grues s'affairent dans un bout de territoire coincé entre les boulevards des Maréchaux et le périphérique. 

source : le Monde


Dans le cadre du projet de renouvellement urbain Paris Nord-Est, le chantier de l'entrepôt Macdonald et ses 160 000 m2 bat son plein. Autrefois destiné à la logistique, il change de nature et de visage. Après avoir été surélevé et entaillé pour créer une place centrale, cet énorme monolithe de béton long de 610 mètres – la longueur de l'île Saint-Louis – se prépare à une seconde vie. Objectif : transformer cet ancien no man's land en un vrai morceau de ville. En 2015, il accueillera 28 000 m2 de bureaux, 16 000 m2 d'activités, 32 500 m2 de commerces, un hôtel d'entreprises, des équipements publics (gymnase, collège, écoles...) et plus de 1 100 logements, dont la moitié de sociaux. Actuellement commercialisés sur plans, les appartements se vendent en moyenne 7 500 euros le m2. La livraison des bureaux est prévue à l'été 2014 ; celle des logements en 2015.


PSG : le match NKM-Hidalgo

Stade, Qatar, place dans la ville... Les deux candidates à la mairie de Paris, Anne Hidalgo et Nathalie Kosciusko-Morizet, livrent dans le JDD leur vision d'avenir du PSG. Extraits.




L'ASPECT SPORTIF 

Anne Hidalgo : Ce n'est pas simple de remplacer Leonardo et Ancelotti. Mais Laurent Blanc, que j'apprécie, est une grande personnalité. Il a de l'autorité. Je regrette en tout cas que Mamadou Sakho, qui porte une histoire parisienne, ait émis le souhait de partir. Mais bien sûr que Paris sera champion. 





Nathalie Kosciusko-Morizet : La dynamique est bonne, Laurent Blanc dispose d'une grande équipe, le gros investissement sur Cavani et les dernières recrues semblent déjà être un bon choix. J'assiste à des matches de temps en temps. Mon fils de 8 ans, qui décharge souvent la batterie de mon iPad pour jouer à Fifa 2013, est très supporter (...) Un joueur préféré? Peut-être Sirigu. 

L'AVENIR DU PARC DES PRINCES 

AH : Même si ça ne permettra pas de gagner 10.000 places, on peut aussi faire comme en Angleterre : descendre les tribunes au plus près du terrain. J'y suis d'autant plus favorable qu'on est venu à bout des problèmes de hooliganisme à l'intérieur du Parc. S'agissant de sa vente éventuelle, je n'ai pas de tabou. C'est une hypothèse parmi d'autres, mais elle n'est pas d'actualité. 

NKM : La Mairie doit conserver son droit de regard sur le Parc. Et pas seulement s'y faire offrir des places pour les élus. 



La suite : le JDD