jeudi 15 août 2013

Réclamons des défibrillateurs dans tous les lieux publics parisiens

#NKM sur RMC : « #Valls, dernière illusion du socialisme »

Pétition adressée à : Bertrand Delanöe : Limoger Yacine Chaouat, adjoint au maire du 19ème arrondissement


La gauche morale aime à donner des leçons au monde entier ! Il faut être pour le mariage homo sinon on est homophobe, être pour le vote des étrangers sinon on est raciste, être pour la parité sinon on est contre les femmes etc. Bien entendu cela concerne tout le monde en France sauf les socialistes ! Pour ces derniers c’est « faites ce que je dis, pas ce que je fais » ! Ainsi, quand un des leurs est condamné à deux reprises pour une affaire de "violences conjugales" par les tribunaux, eh bien on lui donne une petite tape sur les doigts et on oublie. Jusqu’à la prochaine condamnation. 

Rappel des faits : M. Yacine Chaouat, Maire-adjoint du 19ème arrondissement chargé de la propreté, des relations avec le monde combattant et de la mémoire, reproche à son épouse d’être trop « francisée » et « de ne pas respecter les coutumes de son pays ». Par conséquent il a décidé de l’attacher au radiateur, de la frapper avec sa ceinture puis de la séquestrer à son domicile. Voilà un acte inqualifiable qui dans n’importe quelle entreprise ou administration, aurait valu le renvoi immédiat de M. Yacine Chaouat. Mais pas au Parti Socialiste ! Car pour un socialiste, il y a plus important qu’une décision de justice devant un tribunal de la République française, il y a la loi du copinage de la rue de Solferino ! Cette loi qui fait passer au second plan les droits des femmes.


La mairie #PS du #19ème interdisait l’accès au Conseil Municipal (source Contre Attaque)


La mairie du 19è interdisait l'accès au conseil... par enquete-debat

Source Contre Attaque

"Les violences contre les femmes, c'est toute l'année, ça ne s'arrête pas l'été" (Fatima Lalem, élue à la Ville de Paris)

La mairie de Paris a lancé mercredi une campagne contre toutes les formes de violences faites aux femmes. Jusqu'au 28 août, des affiches sont visibles dans la rue et dans le métro. L'objectif de cette campagne est d'informer et de sensibiliser. Et de rappeler que les violences faites aux femmes "ne s'arrêtent pas l'été", a souligné Fatima Lalem, adjointe chargée de l'égalité homme/femme à la mairie de Paris.

Bonne fête de l'#Assomption où que vous soyez #Paris ou vacances







Act Up-Paris répond avec humour aux #Hommen

Un zap, ce n'est pas à la portée de tout le monde. Les Hommen, qui s'inspirent des Femen (mais portent un
masque parce qu'on ne sait jamais, s'ils étaient reconnus…), ont tenté mardi 13 août dans la soirée, d'appliquer à Act Up-Paris ses propres méthodes. Ce qui a fâché le groupuscule anti-égalité des droits, c'est l'action, le 4 août, de l'association parisienne contre la Fondation Jérôme-Lejeune (lire Act Up-Paris zappe la «Manif pour tous», «soutien» de l’homophobie d’État en Russie et Le Parti chrétien-démocrate exige la dissolution d’Act Up-Paris).

Le choix du lieu ne s'est pas fait par hasard: la présidente de la «Manif pour tous», Ludovine de la Rochère, y est directrice de communication, et la fondation est elle-même opposée à l'égalité des droits et à l'avortement. Les Hommen ont donc zappé la façade du local d'Act Up, faux sang et affiches à l'appui. «Ces jeunes hommes torses nus mais masqués ne sont vraiment pas bricoleurs ; de mémoire d’Actupien.ne.s on n’avait jamais vu du faux sang aussi raté…», s'amuse l'association visée.


Paris rafraichit ses rues !

Edgard Morin : "Je pense que Paris s'est déshumanisé mais pas totalement"




La suite : France Info

A Paris, des mal-logés s’installent place de la République

Les associations de mal-logés et de sans-logis comptent s’installer jeudi 15 août place de la République, à Paris, pour protester contre les loyers chers et les expulsions.

C’est une nouvelle action coup-de-poing des mal-logés, en plein cœur de l’été cette fois. Après avoir occupé des gymnases et des immeubles vides, campé devant le Conseil d’État, manifesté devant le ministère du Logement, marché pour l’application de la loi de réquisition, les « oubliés de la loi Dalo » s’installent cette fois place de la République, à Paris. 

Le jour où je suis devenue française

Alors que nous avons quitté avec mes parents l’Espagne de Franco quelques années plus tôt, nous décidons tous de devenir français.


J’arrive en France en 1961 à l’âge de 2 ans et demi avec mes parents, Antonio et Maria, et ma sœur Marie. L’intégration n’est pas évidente. Nous ne parlons pas un mot de français. Je grandis dans le quartier populaire de Vaise, à Lyon, avec le désir de faire partie de la société française. A 14 ans, je suis enfin bilingue. Mes parents demandent la nationalité française pour toute la famille. Cela signifie que nous acceptons de perdre notre nationalité espagnole : sous Franco, c’est comme ça. Déterminé, un soir à table, mon père nous annonce qu’il a pris les devants et qu’il vient de demander « un décret familial de naturalisation ». A mes yeux, c’est logique. J’ai appris à l’école les fondements de la République française, j’ai deux langues maternelles et je ne souhaite pas vivre l’enfer des files interminables à la préfecture pour renouveler les titres de séjour.