lundi 20 mai 2013

Dossier qui fache : le milliard d'euros des Parisiens

Anne Hidalgo, Première Adjointe au Maire de Paris, était l'invitée politique de TV5 Monde, lundi 4 juillet 2011. A cette occasion, elle est revenue sur l'attitude de l'Etat français qui doit plus d'un milliard d'euros aux Parisiennes et Parisiens.




19 avril 2012 : Pour Bertrand Delanoë, François Hollande sera un président respectueux des Parisiens et des collectivités locales. Le maire de Paris a aussi déclaré qu'il ne demanderait pas à François Hollande de payer la dette de 1,3 milliard d'euros due à Paris par l'Etat.

PSG : Carlo Ancelotti veut partir, Paris veut le retenir


L'entraîneur du PSG Carlo Ancelotti "a demandé à partir à Madrid", selon une déclaration de Leonardo. Une réunion tripartite avec Nasser Al-Khelaïfi, Leonardo et Carlo Ancelotti a permis à l'Italien d'exprimer un souhait équivoque, confirmé dans la soirée aux Trophées UNFP. Le PSG s'arc-boute sur la dernière année de contrat d'Ancelotti.


Paris 2014 avec Franck Margain candidat

C'est depuis Londres à La City qu'un membre de la Chambre des Lords, à l'occasion d'un débat sur
l'éthique, a conseillé à Franck Margain, actuel directeur général d'une grande banque internationale à Paris, de prendre contact avec Christine Boutin. Son combat permanent : la protection de l'être humain.


Questions et réponses avec FM

Age en 2013 : 51 ans.
Lieu de naissance : Né à Sainte-Foy-lès-Lyon dans le Rhône, c'est à côté de Lyon.
Statut familial : Marié, divorcé, père de quatre enfants.
Formation de base : Master en économie financière et financement des entreprises.

Paris Tribune : Quelle est la nature de la politique : est-elle par nature plutôt des actes, des paroles ou des idées ?
Franck Margain : En nature, la politique, ce sont des idées.

Paris Tribune : Quelle est la fonction de la politique ?
FM : La politique sert à replacer les débats sur le long terme... Qu'est-ce qui est bon pour l'Homme ? Ce qui est bon pour le plus faible est bon pour le plus fort.

Paris Tribune : Qu'est-ce que la politique n'est pas ?
FM : La politique n'est pas politicienne, la politique ce n'est pas un coup de billard à 3 bandes, ce n'est pas un calcul permanent, ce ne sont pas des manœuvres. 

Paris 2014 avec Chenva Tieu candidat


Le seul candidat issu de la diversité, symbole de réussite et reconnaissant envers la France, se
définit comme un pur activiste pour trouver le juste milieu dans toutes les décisions de la Cité.


Réfugié politique arrivé en France en 1975 à l'âge de 12 ans sans parler la langue, devenu dirigeant d'entreprise, à l’initiative de nombreux projets et associations, Chenva Tieu s'est engagé politiquement en 2007 à l'UMP. Désormais il entend participer à la vie municipale parisienne, sa ville d'adoption.

Age en 2013 : 50 ans 
Lieu de naissance : Né à Phnom Penh au Cambodge. 
Statut familial : Pacsé avec un homme. 
Profession : Dirigeant d'entreprise. 
Formation de base : Diplômé de gestion de Paris Dauphine. 

Paris Tribune : Quelle est la nature de la politique : est-elle par nature plutôt des actes, des paroles ou des idées ? 
Chenva Tieu : La politique c'est un mélange assez subtil entre ces trois catégories mais ce sont d'abord des actes pour donner davantage d'égalité devant la citoyenneté. Le citoyen est là et il a une capacité. Il faut qu'on lui donne ce dont il a besoin pour qu'il réduise ses dépendances alimentaires, pour améliorer sa vie par des actes précis. Les idées sont un support pour donner un esprit à la démarche. Conscience, volonté, activisme et ce sentiment de vouloir être utile aux autres. Il faut d'abord avoir été utile à soi-même. 

Comment le maire de Paris est-il élu ?


Première étape : l'élection des 518 conseillers d'arrondissement
Chaque arrondissement parisien correspond à un secteur électoral. Pour chaque arrondissement, la liste qui recueille la majorité absolue des suffrages exprimés lors dupremier tour de scrutin se voit attribuer un nombre de sièges égal à la moitié du nombre de sièges à pourvoir. Les autres sièges sont répartis entre toutes les listes à la représentation proportionnelle, y compris celle qui a déjà obtenu la moitié des sièges. 
Ce mode de scrutin, élaboré par Gaston Defferre en 1982, accorde ainsi une prime massive à la liste arrivée en tête dans chaque arrondissement. C'est pourquoi une liste peut être majoritaire en voix et minoritaire en sièges. 

Seules peuvent se présenter au second tour les listes ayant obtenu 10 % des suffrages exprimés au premier. La répartition des sièges se fait alors selon le même principe. 

Au total, 518 conseillers sont ainsi élus. Le nombre de conseillers par arrondissement est proportionnel à la population de cet arrondissement. Le moins peuplé, le Ier, compte 3 conseillers de Paris et 10 conseillers d'arrondissement. Le plus peuplé, le XVe, compte 17 conseillers de Paris et 34 conseillers d'arrondissement.

Après les élections des conseils d'arrondissement, 163 conseillers de Paris sont désignés proportionnellement.

Le sacre solitaire d'Anne Hidalgo

La 1re adjointe de Bertrand Delanoë sera investie mercredi à l'issue du vote, dans les 26 sections de la capitale, des 4.500 militants socialistes parisiens à jour de cotisation. Le suspense n'est pas insoutenable, puisqu'Anne Hidalgo est la seule candidate. Le 28 mai, elle fera son premier discours au Bataclan, au cours duquel le maire de Paris a prévu d'intervenir. Le jour n'a pas été choisi au hasard : il correspond à la date de la clôture des inscriptions pour la primaire de l'UMP à Paris.

Pierre-Yves Bournazel se fait tirer les oreilles après un échange vif avec NKM


"Tu mens !" Le dernier débat de la primaire UMP, le 14 mai sur LCI, a donné lieu a de vifs échanges entre Nathalie Kociusko-Morizet et Pierre-Yves Bournazel. Ce qui a valu un rappel au règlement pour l'élu du 18e arrondissement de la part d'Antoine Rufenacht, président du Conseil supérieur des primaires.

L'institution qui doit arbitrer le scrutin de l'UMP s'est réunie mercredi 15 mai et est revenue sur la question. Antoine Rufenacht, autorité morale de cette élection, a considéré que les mots de Pierre-Yves Bournazel n'étaient pas tolérables, parlant "d'une insulte", selon des propos rapportés par un participant. 

Boris's Paris match: an interview with Nathalie Kosciusko-Morizet


It’s Monday lunchtime, downstairs in the Spectator office, and Boris Johnson is trying to flog a bus to a Frenchwoman. ‘What about the new Routemaster? It’s absolutely great, yup, fantastic, yup. Hey, they could be really good for Paris,’ he says. She smiles and says nothing. ‘Well what about bendy-buses then?’ he carries on. ‘We’ve got a few of those you can have…’ 

‘Come on, please’ she interrupts, kindly but firmly, in excellent English. ‘Stop your recycling with me.’
Has Boris met his match? Her name is Nathalie Kosciusko-Morizet, she’s just turned 40, and she’s running to be the next mayor of Paris. Boris calls her ‘terrific’, and it’s easy to see what he means. 
NKM, as she’s called in France, is hyper-intelligent, pro-business, and centre-right. Plus, let’s not be coy here, she’s a bit of a hottie. She wears trendy clothes, has fierce clever eyes, and exudes a sort of minxy froideur.


NKM dans le Sunday Times “Oh Boris, don’t tease me with your bendy bus”