mercredi 8 mai 2013
Document de campagne de Bournazel
http://issuu.com/pyb2014/
#Bournazel2014
L' incohérence des déclarations de patrimoine de Delanoë et Hidalgo
Tout d’abord, Bertrand Delanoë et Anne Hidalgo ont déclaré leurs revenus tirés de leurs mandats nets d’impôts, ce qui leur permet de minorer leurs ressources affichées.Hidalgo déclare des revenus nets de 4 481 euros pour ses mandats. Elle se garde bien de déclarer sa retraite de fonctionnaire qu’elle touche depuis 2011 ( voir Anne Hidalgo, retraitée à 53 ans). Delanoë déclare quant à lui 4 683 euros de revenus nets pour son mandat parisien. Delanoë touche également une retraite qu’il ne mentionne pas dans sa déclaration de revenus.
De plus, Delanoë et Hidalgo ont déduit de leurs revenus leurs cotisations au PS, considérant ces cotisations comme des impôts… Mais étrangement, Delanoë etHidalgo ne déclarent pas le même montant de cotisations au PS dans leurdéclaration de patrimoine. Hidalgo déclare verser 1 063 euros par mois de cotisations au PS, alors que Delanoë déclare verser seulement 470 euros par mois pour ses cotisations.
Pourquoi Hidalgo cotise-t-elle plus au PS que Delanoë ?
Les contributions au PS sont normalement liées aux revenus. Or, les revenus de retraité et les indemnités de représentation de Delanoë sont supérieurs à ceux d’Hidalgo. Il n’y a donc aucune raison justifiant que Delanoë paye moins de cotisations au PS qu’ Hidalgo. Conclusion: soit Hidalgo majore le montant de ses cotisations au PS dans sa déclaration de patrimoine afin de réduire ses revenus nets déclarés, soit Delanoë verse moins au PS que ce qu’il lui doit. Voilà qui manque de transparence…
Primaire UMP à Paris : NKM tire le signal d'alarme
Ce devait être la rampe de lancement de la droite pour partir à la reconquête de la capitale. La primaire organisée par l'UMP pour désigner son candidat à la mairie de Paris lors des municipales 2014 est pour l'heure bien loin du compte.
A ce jour, seuls 5000 Parisiens se sont fait enregistrer pour ce vote programmé fin mai-début juin.
Bien en-deçà des 50.000 espérés au minimum par le parti de Jean-François Copé pour légitimer leur candidat... et amortir le coût de l'opération, chaque électeur participant devant s'acquitter d'un droit de 3 euros.
Candidate à cette primaire après avoir quitté sa mairie de Longjumeau (Essonne) et grande favorite des sondages, Nathalie Kosciusko-Morizet elle-même s'inquiète de voir cette campagne patiner. Au point qu'elle vient d'alerter Antoine Rufenacht, l'ancien maire du Havre désigné comme «autorité morale» de cette primaire, pour lui demander de modifier le mode de scrutin.
NKM : Renoncer à la primaire UMP serait "une très mauvaise idée"
La députée UMP de l'Essonne est revenue sur l'organisation d'une primaire à l'UMP en vue des municipales de 2014.
Paris : l'UMP redoute l'échec, NKM veut un vote par urne
Seulement 3.000 personnes se sont inscrites pour voter à la primaire de la droite en vue de la municipale de 2014 à Paris, quand il en faudrait 58.000 dans trois semaines, explique-t-on à l'UMP. Pour éviter l'accident industriel, Nathalie Kosciusko-Morizet a demandé à Antoine Rufenacht, président du Conseil supérieur de la primaire, de mettre en place un vote par urne en complément du vote électronique.
Soupe à la grimace : la fédération parisienne de l'UMP se demande dans quelle galère elle s'est embarquée avec la primaire ouverte à tous les sympathisants de droite pour désigner son candidat à la municipale de 2014. En deux semaines, seulement un peu plus de 3.000 personnes se sont inscrites sur Internet, étape obligatoire pour participer au processus. Pour que le dispositif soit rentable, il faudrait 58.000 inscrits avant la date de clôture, le 28 mai à 19 heures. On s'achemine vers un four. "Il y a un vrai problème de mobilisation", reconnaît-on dans l'entourage de la favorite, Nathalie Kosciusko-Morizet. "Les militants ne sont pas là-dedans."
En cause : le casting d'abord. Depuis l'abandon de Rachida Dati, la primaire manque d'autres noms comparables à celui de l'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy.
Cérémonies du 8 mai 2013 à Paris : la place Clemenceau puis l’Arc de Triomphe
Le président de la République François Hollande se rendra place Clémenceau à 10h40 pour célébrer le 68e anniversaire de la"Victoire du 8 mai 1945". Il remontera ensuite les Champs-Élysées avec l’escorte de la garde républicaine pour arriver à 11h place de l’Étoile. Accompagné notamment du Premier ministre Jean-Marc Ayrault et du président polonais Bronislaw Komorowski, il enchaînera ainsi directement par le ravivage de la flamme du tombeau du soldat inconnu sous l’Arc de triomphe.
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