mercredi 14 août 2013

NKM défend son programme en faveur de l'écosystème startups parisien

Pouvez vous faire un bilan de ce que l’actuel maire de Paris a fait en faveur des startups ?

Comme de nombreux Parisiens, j’aimerais être en mesure de le faire ! Or la Ville semble très réticente à communiquer les chiffres des politiques qu’elle met en œuvre pour favoriser l’innovation et la création de startups. Vous ne trouverez nulle part, par exemple, le montant total des subventions allouées aux incubateurs parisiens ces onze dernières années, sans parler du retour sur investissement de ces dépenses. La Ville ne communique en outre que très partiellement sur le montant et l’efficacité des subventions directes allouées aux startups, notamment via le fonds Paris Innovation Amorçage.
En matière de création de lieux d’innovation (incubateurs, pépinières etc.), nous connaissons les objectifs fixés par Bertrand Delanoë dans son programme de campagne en 2008 : construire 55 000m2 d’espaces supplémentaires consacrés à l’innovation et aux start-ups en 6 ans. Je constate comme vous que les lieux d’innovation ont fleuri dans Paris ces dernières années. Cette stratégie dictée par une logique exclusivement foncière a néanmoins de quoi surprendre. Sur fond de bulle immobilière, ces projets coûtent des centaines de millions d’euros à l’Etat et à la Ville : je pense notamment au GLII et au projet de transformation de la Halle Freyssinet.

Les politiques divisés sur le devenir du fort de Brégançon

Résidence de vacances – ou de "repos" - des chefs de l’Etat, le fort de Brégançon n’a jamais eu la côte parmi les heureux élus de l’Elysée, de Charles de Gaulle à Nicolas Sarkozy. Et il coûte 230 000 euros par an en entretien, selon la Cour des comptes.

Après l’Opinion, dans un édito, puis Var-Matin le 3 août, c’est au tour du Parisien de soulever la question de la vente de cette résidence des présidents depuis 1968. Et sur ce point, les avis politiques divergent.

Selon le Parisien de ce samedi 10 août, François Hollande "ne souhaite pas se débarrasser de cette pépite du patrimoine national". Le chef de l’Etat privilégierait l'idée d’ouvrir le fort au public pour en faire "une sorte de musée de la Ve République".

A l’Elysée, toujours selon le quotidien, on envisage également de transformer le fort en "lieu de résidence pour les chefs d’Etats étrangers". Une hypothèsé plus coûteuse.

Ian Brossat, président du groupe communiste au Conseil de Paris, penche plutôt pour en faire une colonie de vacances 



Ile de Ré : le dernier salon où causent les people

Le 7e Salon du livre se tient au Bois-Plage vendredi et samedi. Avec une pléiade de bons auteurs et de célébrités

Les économistes Christian Saint-Etienne et Philippe Dessertine discuteront, eux, de la situation générale du pays à l’occasion du débat « France, état d’urgence ». 

Gonzague Saint-Bris parlera de Louis XIV, « cet inconnu ». Zoé Shepard (la nana d’« Absolument dé-bor-dée » a remis ça avec « Ta carrière est finie ») et Eric Fottorino, ancien directeur du « Monde », rochelais de naissance et de cœur (dernier livre paru : « En raison d’un accident de voyageur »), échangeront sur le thème « Ecrire pour témoigner », en compagnie notamment de René Guitton (« La France des intégristes »).

La modernisation de l'Etat : Christian Saint-Etienne dans Good Morning Business

Les Français nombreux à vouloir une opposition vivante ?

Anne #Hidalgo passe dans #Vogue en espagnol

#Etudiant cherche #logement, désespérément

Visite guidée des serres d'Auteuil




Construites en 1898, les serres d'Auteuil sont aujourd'hui menacées par l'extension de Roland-Garros. Ces monuments, où s'épanouissent cactus, orchidées ou palmiers, abritent le siège du Jardin botanique de Paris.

La suite : Libération

Sauvons les serres d'Auteuil

Chers signataires de la pétition SAUVONS LES SERRES D’AUTEUIL, 

 habitants de la France entière et de nombreux pays étrangers, (English version below) depuis l’envoi de mon mail du 11 mars dernier, non seulement le cap symbolique des 50 000 signataires a été franchi, mais celui des 51 000 va l’être d’un jour à l’autre. 

Autant dire que la mobilisation publique en faveur du jardin botanique des Serres d’Auteuil situé dans le Bois de Boulogne, classé à la fois Monument naturel et Monument Historique, ne faiblit pas. La Fédération Française de Tennis (FFT) comme la Ville de Paris, ainsi que toutes les instances concernées, finiront-elles enfin par prendre la mesure de cette exceptionnelle mobilisation ? Pour le moment, malheureusement, ce n’est toujours pas le cas. 

 Dans mon mail du 11 mars, je vous avais informé du jugement du Tribunal Administratif de Paris du 28 février dernier: saisi par des associations de défense du patrimoine et de l’environnement, le TA annulait la délibération du Conseil de Paris du 11 juillet 2011 portant sur la modernisation du stade Roland-Garros, jugeant en particulier la convention (CODP ou Convention d’Occupation du Domaine Public) passée entre la Ville de Paris et la FFT (Fédération Française de Tennis) illégale pour divers motifs.

Permis de saccager les Serres d'#Auteuil délivré en douce le 13 août

Anne Hidalgo appelle à échanger sur sur la Plateforme d'@Oser_Paris!

#Paris2014 : #Hidalgo et #NKM, soeurs en boboïsme

Francois Vial 75
« Du pain et des jeux » : tel semble être le programme que les sœurs siamoises de l’#UMPS, Anne Hidalgo et Nathalie Kosciusko-Morizet, réservent à leurs électeurs. Enfin, surtout des jeux…
Les Parisiens s’interrogent à bon droit sur les priorités budgétaires de la mairie socialiste, pour grande partie tournées vers les activités communautaristes et/ou festives. Paris plage, fête du ramadan, Techno parade ou Marche des fiertés (Gay pride) incarnent ces gouffres financiers dont le seul but est de satisfaire telle ou telle clientèle électorale : plus de 200 millions d’euros de subventions sont ainsi
versés chaque année à des associations dont l’utilité publique paraît parfois douteuse¹. La cour du roi Delanoë n’ayant pas le commencement d’une idée pour aider les classes moyennes et populaires touchées par la crise, elle étourdit depuis 12 ans le bon peuple à coups de fêtes et de rassemblements « ludiques ».
Avec de telles inepties, la droite parisienne disposerait – si elle voulait vraiment croiser le fer – d’un argument massue dans le cadre de la campagne municipale qui s’engage. Mais, à Paris plus qu’ailleurs, bon sang de bobo ne saurait mentir : la consanguinité idéologique d’Anne Hidalgo et Nathalie Kosciusko-Morizet saute aux yeux, et on ne sera pas étonné d’apprendre² que la candidate UMP ambitionne de réhabiliter des stations RATP désaffectées pour en faire des… « espaces de fête » ! Un boboland souterrain, bien évidemment construit et entretenu avec l’argent du contribuable. Pendant ce temps, des sans-abri crèvent sous les ponts…