mercredi 7 août 2013

Métropole du Grand Paris : un compromis bâtard

En séparant le développement économique, qui reste à la Région, du logement et de l'aménagement confiés à la nouvelle Métropole du Grand Paris, le gouvernement prend le risque de voir l'agglomération capitale pilotée par deux têtes concentrées sur leurs domaines restreints, à l'exclusion de toute vision globale.

Bertrand Lavaud
Les titres complaisants de la presse : "les socialistes ont gagné leur Grand Paris", "Sarkozy en rêvait, les socialistes l'ont fait" ne doivent pas masquer une réalité bien plus complexe. Nicolas Sarkozy, avec l'aide de Christian Blanc, ministre en charge à l'époque, a rêvé le Grand Paris en commençant par le bon bout. Le développement économique de la région capitale, qui représente 30 % du PIB français était la priorité, avec la mise en place de 7 clusters thématiques à visibilité mondiale. Le réseau Grand Paris express devait permettre de relier ces grands pôles entre eux et aux aéroports en moins de 30 mn.
Autour des stations du réseau, des contrats de développement territoriaux (CDT) devaient promouvoir le développement économique au sein de chaque territoire de l'agglomération. La gouvernance ne devait être traitée que dans un deuxième temps, l'urgence étant alors le volet économique du Grand Paris que tous reconnaissent aujourd'hui comme le principal moteur de croissance l'économie française.
Le gouvernement actuel, semblant conserver l'essentiel, a dénaturé le projet, par manque de vision.


Exclusif @Lopinion_fr : les chiffres secrets de la primaire parisienne de l#'UMP

Les données de la société Docapost qui a organisé le scrutin permettent de mieux connaître les Parisiens qui y ont participé.
Le plus grand nombre d’électeurs étaient domiciliés dans le 16ème arrondissement : 3600.

Dossier qui fache : le milliard d'euros des Parisiens

5 juil. 2011 Anne Hidalgo, Première Adjointe au Maire de Paris, était l'invitée politique de TV5 Monde, lundi 4 juillet 2011. A cette occasion, elle est revenue sur l'attitude de l'Etat français qui doit plus d'un milliard d'euros aux Parisiennes et Parisiens.



19 avril 2012 : Pour Bertrand Delanoë, François Hollande sera un président respectueux des Parisiens et des collectivités locales. Le maire de Paris a aussi déclaré qu'il ne demanderait pas à François Hollande de payer la dette de 1,3 milliard d'euros due à Paris par l'Etat.


Élection municipale de 2014 à Paris sur #Wikipedia

La prochaine élection municipale à Paris aura lieu en mars 2014.

État des lieux[modifier | modifier la source]

Mode de scrutin[modifier | modifier la source]


À Paris, les électeurs choisissent à la fois des conseillers de Paris et des conseillers d'arrondissement1. Les conseillers de Paris élisent le maire et siègent au Conseil de Paris ainsi qu'au Conseil d'arrondissement. Les conseillers d'arrondissement ne siègent qu'au Conseil d'arrondissement.

La suite : Wikipedia

Paris : l'ouverture de la salle de shoot devant le tribunal administratif

La salle de shoot, une première en France, doit ouvrir à l'automne prochain boulevard de la Chapelle, dans le 10e arrondissement de Paris. Mais le calendrier pourrait être légèrement bousculé. En effet, le conseil d'Etat vient de déclarer recevable le recours d'une association - Parents contre la drogue - qui s'oppose depuis de longs mois au projet. la demande a été transmise au tribunal administratif, qui doit maintenant statuer sur le fond.
L'association avait déposé un recours au début de l'été contre le premier ministre Jean-Marc Ayrault, pour "abus d'autorité". Le principe d'une expérimentation d'une salle de shoot a en effet été acté par le premier ministre à la fin de l'hiver. "Mais il ne l'a fait qu'oralement, devant la presse, explique Serge Lebigot, président de l'association. La moindre des choses dans ce genre de cas, c'est de convoquer un débat au Parlement !"

Hôpitaux de Paris : à l’approche des élections, il est urgent... de ne rien changer

Alternative Libérale salue la nomination de Christian Saint-Etienne comme tête de liste #UDI à #Paris

Quatre femmes pour Paris. {1/3} : Anne #HidalGO

Christophe Najdovski : le "candidat normal" d’EELV

Il nous reçoit pendant plus d’une heure dans son bureau de l’Hôtel de Ville. "Calme", "posé", "réservé" même comme le présentent ceux qui le connaissent bien. Christophe Najdovski, 44 ans, est candidat à la mairie de Paris. "Je n’aurais pas imaginé ça il y a quelques années. Les choses se sont faites ainsi", philosophe ce Parisien de toujours, dont le nom souvent écorché vient de Macédoine. L’écologie, il n’est pas tombé dedans quand il était petit mais il l’a découverte pendant ses études d’économie à la Sorbonne, auprès de René Passet, économiste du développement et premier président du conseil scientifique d’ATTAC. Il prend sa carte des Verts à 23 ans, sera élu à 31 ans conseiller de Paris du 12e arrondissement qu’il n’a jamais quitté.

Petite histoire du ticket de métro parisien

Pour les amoureux de Paris et son histoire : A découvrir " Petite histoire du ticket de métro parisien " le livre qui retrace 110 ans de l'histoire d'un banal objet du quotidien devenu objet culte. 



http://ticketdemetroparisien.blogspot.fr/

NKM, Hidalgo, Saint-Etienne etc : comment le maire de #Paris2014 est-il élu ?



Un article de l'Internaute 

Première étape : l'élection des 518 conseillers d'arrondissement
Chaque arrondissement parisien correspond à un secteur électoral. Pour chaque arrondissement, la liste qui recueille la majorité absolue des suffrages exprimés lors du premier tour de scrutin se voit attribuer un nombre de sièges égal à la moitié du nombre de sièges à pourvoir. Les autres sièges sont répartis entre toutes les listes à la représentation proportionnelle, y compris celle qui a déjà obtenu la moitié des sièges. 
Ce mode de scrutin, élaboré par Gaston Defferre en 1982, accorde ainsi une prime massive à la liste arrivée en tête dans chaque arrondissement. C'est pourquoi une liste peut être majoritaire en voix et minoritaire en sièges

Seules peuvent se présenter au second tour les listes ayant obtenu 10 % des suffrages exprimés au premier. La répartition des sièges se fait alors selon le même principe. 


Au total, 518 conseillers sont ainsi élus. Le nombre de conseillers par arrondissement est proportionnel à la population de cet arrondissement. Le moins peuplé, le Ier, compte 3 conseillers de Paris et 10 conseillers d'arrondissement. Le plus peuplé, le XVe, compte 17 conseillers de Paris et 34 conseillers d'arrondissement.


Après les élections des conseils d'arrondissement, 163 conseillers de Paris sont désignés proportionnellement et par arrondissement parmi les élus pour siéger au Conseil de Paris.

Seconde étape : l'élection du maire d'arrondissement
Une semaine après le scrutin, le conseil d'arrondissement rassemble les conseillers d'arrondissement, qui ne siègent que dans cette instance locale, et les conseillers de Paris, qui siègent également à l'Hôtel de Ville. 
Chaque conseiller d'arrondissement vote pour élire le maire d'arrondissement.



Troisième étape : l'élection du maire de Paris
Il revient ensuite aux 163 conseillers municipaux d'élire le maire de Paris
Si aucun candidat ne parvient à obtenir les voix d'au moins 82 conseillers aux deux premiers tours de scrutin, un troisième tour a lieu à la majorité relative. 
Les premières élections municipales ont eu lieu le 25 mars 1977. Depuis cette date, trois maires se sont succédé à l'Hôtel de Ville : Jacques Chirac (1977-1995), Jean Tiberi (1995-2001) et Bertrand Delanoë depuis 2001.

#Paris2014 : #Bourlanges (#UDI) et les "bobos de droite"


Jean-Louis Bourlanges, UDI

Figure centriste et ancien député européen, Jean-Louis Bourlanges juge sévèrement l'évolution de Paris. "C'est une capitale en voie de paupérisation. Il y a un autre discours à construire." Mais ce spécialiste de la droite se montre sceptique sur les chances de l'opposition pour les prochaines municipales : "Dans le combat bobos de gauche contre bobos de droite, ce sont les premiers qui risquent de gagner à la fin


75014 : les prétendants actuels à la mairie du 14eme arrondissement




Carine Petit, PS












Olivia Polksi, PS

Pascal Cherki, PS
Marielle de Sarnez, Modem

Philippe Pejo, UDI



Nathalie Kosciusko-Morizet, UMP


Marie-Claire Carrère-Gée, UMP






2 mars 2016 - 16 mars 2014 : les dates des Elections municipales #Paris2014

Date
Élection
Durée du mandat 
Dernières élections
2014
Municipales
6 ans
2008 (9 et 16 mars)
2014
Européennes
5 ans
2009 (11 juin)
2015
Départementales
6 ans
2008 ou 2011 selon les dép.
2015
Régionales
6 ans
2010 (21 mars)
2017
Présidentielle
5 ans
2012 (22 avril et 6 mai)
2017
Législatives
5 ans
2012 (10 et 17 juin)
Source : http://vosdroits.service-public.fr/F1939.xhtml

Annick Lepetit, candidate PS dans le XVIIIe?

La succession de Daniel Vaillant attise les appétits. Frappé par la règle de non-cumul, le député-maire  du
Anne Hidalgo et Annick Lepetit, PS
XVIIIe n’a pas encore annoncé s’il démissionnera ou pas de son fauteuil d’élu local que déjà, les candidats se multiplient. Didier Guillot, conseiller de  chargé de la vie étudiante, vient de se déclarer.

Ce qui complique un peu plus la tâche d’Anne Hidalgo qui entendait choisir entre deux candidats : Eric Lejoindre, premier adjoint d’arrondissement, soutenu par le maire sortant, et Myriam El Khomri, adjointe au maire de  chargée de la sécurité. Et si une quatrième candidature venait s’ajouter? La députée Annick Lepetit rappelle opportunément que Daniel Vaillant lui a confié les rênes de la mairie en 2001 alors qu’il était déjà au gouvernement. « Si personne ne se décide, je vais me porter candidate », lance-t-elle bravache.

#Paris2014 : la ministre du Logement se met à l’abri… d’une tôle électorale !

On ne refera pas Cécile Duflot. Piètre politique – ses manquements à répétition le démontrent –, l’ex présidente d’Europe écologie-Les Verts est à l’inverse une politicienne de compétition. Aucun calcul, surtout s’il est mesquin, ne lui est étranger…

A vaincre sans péril…
« Fracassée » à chacune des élections auxquelles elle s’est présentée dans sa circonscription d’origine (*), l’insupportable n’a longtemps pu obtenir que des accessits, grâce à des scrutins de liste. CHAQUE fois qu’elle a mené une campagne sur son nom, la claque a été au rendez-vous.
En 2012, M’ame Duflot a trouvé la parade : (faire) compulser les résultats des précédentes Législatives, identifier la circonscription alors la plus à gauche de France – la 6e à Paris – et… faire un gros caprice ! A François Hollande, favori des sondages pour la présidentielle, la renarde tint à peu près ce langage : « Si tu n’enlèves pas la candidate PS en face de moi, mon parti n’appellera pas à voter pour toi ». N’écoutant que son courage, l’héritier putatif de Guy Mollet céda au chantage, et l’impétrante fut élue après une campagne limitée à trois marchés expédiés devant les caméras, et sans daigner débattre avec ses adversaires.
Nommée ministre au nom de l’accord signé avant la Présidentielle entre EELV et le PS – qui dut s’en mordre les doigts une fois connu le score décoiffant des écolos à cette élection (2,3 %) –, Cécile Duflot ne cesse depuis de plastronner.