mardi 4 juin 2013

Valérie Sachs félicite chaleureusement Nathalie Kocsiuzko-Morizet

Valérie Sachs, porte-parole de l’UDI Paris prend acte des résultats de la primaire ouverte organisée par
l’UMP parisienne. 

Au nom de la fédération, elle félicite chaleureusement Nathalie Kocsiuzko-Morizet de sa victoire, et adresse aux autres candidats une pensée amicale. 

La suite sur le site de l'UDI Paris

Présentation de l'équipe de campagne d'Anne Hidalgo



Anne Hidalgo, entre vrai et faux sur le logement à Paris

Anne Hidalgo, première adjointe de Bertrand Delanoë et candidate PS à la mairie de Paris, était dimanche 2 juin l'invitée de "Tous politiques", sur France Inter, dont Le Monde est partenaire. Comme chaque semaine, nous avons passé au crible ses déclarations.

1/ Combien de logements vacants à Paris ?
Ce qu’elle a dit : "Il y a en tout 200 000 logements vacants [à Paris] et, sur ces 200 000, 140 000 qui doivent pouvoir être mobilisés pour de la location."
Pourquoi c’est faux : avec la crise et les prix exorbitants des loyers à Paris, la question des logements vacants dans la capitale revient régulièrement sur le devant la scène. La ministre du logement, Cécile Duflot, a lancé en décembre une campagne de réquisition.

Dossier qui fâche : le milliard d'euros des Parisiens.

Anne Hidalgo, Première Adjointe au Maire de Paris, était l'invitée politique de TV5 Monde, lundi 4 juillet 2011. A cette occasion, elle est revenue sur l'attitude de l'Etat français qui doit plus d'un milliard d'euros aux Parisiennes et Parisiens.




19 avril 2012 : Pour Bertrand Delanoë, François Hollande sera un président respectueux des Parisiens et des collectivités locales. Le maire de Paris a aussi déclaré qu'il ne demanderait pas à François Hollande de payer la dette de 1,3 milliard d'euros due à Paris par l'Etat.

Municipales à Paris: "NKM, la meilleure pour perdre", selon Buisson

L'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, Patrick Buisson, prédit que Nathalie Kosciusko-Morizet ne fera pas gagner la droite parisienne. L'inspirateur de la droitisation de l'UMP répond aussi à ses nombreux détracteurs. 



Attaqué par de nombreuses personnalités de l'UMP, Patrick Buisson réplique. A Nathalie Kosciusko-Morizet, d'abord: "Elle n'est pas la meilleure pour gagner, mais la meilleure pour perdre. Elle n'a strictement aucune chance de reconquérir Paris. Mon propos n'est pas idéologique, il est politologique. Pour gagner, il faudrait que la droite aille au-delà de son périmètre sociologique naturel. Avec NKM, elle restera en deçà. Sa personnalité est trop clivante, trop bling-bling pour ce qui reste des classes moyennes à Paris, trop mariage gay pour l'électorat conservateur de la Manif pour tous, déterminé à la faire battre. Pour ces électeurs, Paris ne vaut pas une abjuration."  




NKM sur le chantier de la ZAC Clichy-Batignolles

NKM dans quel arrondissement ?

NKM: les francs-maçons d'abord (source l'Express)

La candidate UMP pour Paris Nathalie Kosciusko-Morizet commence sa campagne en allant chercher les voix de frères de gauche.

Sans perdre une minute, la candidate UMP à la mairie de Paris Nathalie Kosciusko-Morizet va plancher le 11 juin devant les frères du Grand Orient de France, dans le temple Arthur Groussier de la Rue Cadet à Paris.  
Les membres de cette obédience classée à gauche, et en présence du Grand Maître José Gulino (par ailleurs socialiste), vont écouter NKM -qui n'est pas maçonne-, et débattre avec elle sur le thème de "La Réciprocité". Un choix énigmatique.  
Ce qui l'est moins, c'est qu'elle accepte ce passage au siège de la première obédience française. Elle sait nécessairement que sa concurrente Anne Hidalgo va bénéficier de réseaux maçonniques parisiens.  




Paris "à la portée" de l'UMP?

Nathalie Kosciusko-Morizet is right’s choice to be next Paris mayor

The former French environment minister Nathalie Kosciusko-Morizet was elected on Monday night as centre-right candidate for the Paris mayoral election next year.

After a chaotic “electronic election”, entirely conducted on the internet, Ms Kosciusko-Morizet, 39, the favourite, won outright with 58 per cent of the 20,000 votes cast.

There will therefore be no second round and “NKM”, as she is known, will be the principal challenger to another woman, the Paris deputy mayor, Anne Hidalgo next year. It now seems certain, as long expected, that Parisians will elect a woman as mayor, for the first time , in the municipal elections next spring.  

Guillaume Peltier soutient NKM "à 100 %"

Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo

La carrière de NKM en images


Polytechnicienne, ancienne benjamine de l'Assemblée nationale, ancienne ministre, Nathalie Kosciusko-Morizet a trouvé un nouveau défi à sa mesure : briguer la Mairie de Paris. Brillante, travailleuse et exigeante, qui pourrait faire de l’ombre à celle dont Nicolas Sarkozy dit le plus grand bien ? Et pourtant, depuis son abstention de vote lors du projet de loi autorisant le mariage pour tous, NKM est attaquée par l’aile droite des militants UMP. Retour sur son parcours politique


P-Y Bournazel reconnaît la victoire de NKM

Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo

UMP : quels enseignements tirer de la victoire de NKM à Paris pour l’avenir du parti ?

Atlantico : Nathalie Koscisko-Morizet (NKM) a remporté lundi la primaire UMP pour les municipales à Paris dès le premier tour avec 58,6% des voix. Le scrutin a été entaché par de nombreuses irrégularités. Dans ce contexte, peut-on parler d'une victoire pour NKM ? 

Thomas Guénolé : Tout d'abord, j'insiste sur le fait que ce scrutin relève de la pantalonnade. les résultats sont ininterprétables. Si l'UMP décide de faire comme s'il n'y avait eu aucun problème, la messe est dite pour le peuple de droite : leur vote ne vaut rien.De quelle victoire parle-t-on lorsque plusieurs journalistes ont démontré qu'il était possible de voter plusieurs fois. L'UMP a présenté les résultats du scrutin, on attendait qu'elle présente ses excuses. 
 
La victoire de NKM est dû au fait que les trois autres candidats étaient de parfaits inconnus. La surface médiatique de Nathalie Kosciusko-Morizet était la seule à exister. L'état-major national, voire Nicolas Sarkozy lui-même, s'est mobilisé. Face à trois candidats inconnus, NKM aurait du faire au moins 80%. C'est un échec.
 
Arnaud Folch : Ce qui a fait la force de NKM serait vraisemblablement ses soutiens locaux. La très grande majorité des élus, des maires, des conseillers de Paris et des députés la soutenaient. Chacun d'entre-eux s'est mobilisé dans son arrondissement.
 
Les relais de NKM dans les arrondissement ont fait d'elle la favoriteAvec près de 60% des voix, on peut parler d'une incontestable victoire. Un certain nombre de gens pensaient qu'il y aurait un deuxième tour. 

Paris : NKM, tout ça pour ça…

Après nombre de polémiques, la primaire UMP a finalement couronné la favorite.
La victoire de Nathalie Kosciusko-Morizet n’a surpris personne. Pas même ses adversaires. Pourtant, la désormais candidate de l’UMP à Paris s’est livrée à un vrai parcours d’obstacles pour conquérir le droit de briguer la mairie de Paris, en 2014. Retour sur une campagne dont on connaissait la fin avant le début.
Episode 1 : Les Drôles de Dames. Le casting faisait saliver. Rachida Dati, l’ancienne chouchou de la sarkozye, face à NKM, la plus ambitieuse des ambiteuses, saupoudré d’un jeune loup aux dents longues (Pierre-Yves Bournazel) et d’un vieux grognard de la droite parisienne (Jean-François Legaret), sans oublier la relève de Christine Boutin (Franck Margain), il y avait de quoi affoler les gazettes.

Somme des votes

UMP et PCF dézinguent le Grand Paris au Sénat

Alliance improbable mais résultat imparable: les groupes UMP et communiste du Sénat et trois centristes ont dégommé cet-après midi la future métropole de Paris en votant de concert la suppression de l'article 10 de la loi de modernisation de l'action publique et d'affirmation des métropoles qui la créait. Geste qui a entraîné dans cette chute les trois articles suivant qui en détaillaient la mise en oeuvre.Pour le Grand Paris, ça commence mal.
La commission des lois du Sénat avait pas mal détricoté et modifié le texte gouvernemental de décentralisation portant sur les métropoles, lorsqu'elle l'avait examiné les  23 et 24 avril avant son arrivée en première lecture. Mais pour  ce qui concerne Paris, elle s'était contentée, si l'on peut dire, d'adoucir un peu le projet de la ministre de la Décentralisation Marylise Lebranchu. Ainsi, l'obligation pour les communes de la première couronne de se constituer en aggomération d'au moins 300 000 habitants avait-elle été revue à la baisse à 200 000. Moins compliqué. Et le délai pour y parvenir avait été rallongé d'un an (de 2015 à 2016). Plus commode. Mais manifestement insuffisant.

La métropole de Paris supprimée par le Sénat

Le sénat rétablit le fonds francilien de péréquation interdépartementale mais supprime la métropole de Paris.
Les sénateurs ont rétabli, lundi 3 juin, l’article 14 du projet de loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles créant un fonds interdépartemental de péréquation en Ile-de-France. La prochaine loi de finances en fixera les modalités.
Exit le Grand Paris. Ils ont, en revanche, rejeté les articles 10 à 13 créant une métropole autour de Paris.
« Un sentiment de solitude »… Tel a été le commentaire de Marylise Lebranchu, après que les sénateurs aient majoritairement décidé de supprimer l’article 10 du projet de loi de renforcement des métropoles, qui créait une métropole autour de la capitale. L’UMP et les communistes ont voté contre ce projet…
“Le Grand Paris Métropole, qui représente un niveau supplémentaire, s’appuie sur les intercommunalités. Je ne crois pas que ce soit la bonne voie. La métropole intégrée que je souhaite deviendrait impossible”, a fait valoir Philippe Dallier (UMP), sénateur de Seine-Saint-Denis. “Comment prétendre respecter les communes quand on veut les dessaisir au profit d’EPCI, sans leur laisser le choix ? Changez, modifiez, supprimez ! Tout cela est insensé ! Où est la logique ? On force les communes à se regrouper, même quand il existe des regroupements antérieurs. C’est une aberration politique de bâtir la future métropole de Paris sur pareils fondements. Une métropole, pour quoi pas ? Mais pas ainsi !”, s’est exclamé Roger Karoutchi (UMP).

NKM candidate, le pire est-il à venir ?

Plus de peur que de mal. Nathalie Kosciusko-Morizet est désormais candidate à la mairie de Paris, élue ce lundi 3 juin au premier tour de la primaire UMP, avec 58,16 % des suffrages. Et ce au terme d'une
campagne que la candidate décrit elle-même comme "longue et difficile".

Devant son QG rue de la Lune, NKM a les yeux embués. Les dernières semaines ont été rudes. Il y a eu d'abord l'appel au barrage à sa candidature lancé par les opposants au mariage homo, rejoint par l'extrême droite. Puis le coup du courant de la droite forte qui par la voix de son co-président Guillaume Peltier a appelé à voter contre elle et enfin la demande de suspension du scrutin lancée par Pierre-Yves Bournazel, vendredi après midi, premier jour de vote, quand les soupçons de fraudes ont débuté. La primaire a tangué. "Antoine Rufenacht et Philippe Goujon ont parfaitement repris les choses en main" lors de la réunion d'urgence organisée samedi après-midi pour calmer les esprits, souligne un soutien de la candidate qui admet avoir eu au cours du week-end "peur pour la primaire".
Pour autant, derrière le calme apparent qui règne en cette soirée électorale, cette campagne houleuse pourrait laisser des séquelles. "Entre NKM et Bournazel, c'est la haine, à côté Copé et Fillon, c'est une histoire d'amour", prévenait un élu parisien un peu plus tôt dans la journée.Pour l'instant, aucun des trois autres participants n'a évoqué de recours. Même Pierre-Yves Bournazel qui dénonçait vendredi un "système opaque" et promettait qu'il ne "lâcherait jamais rien pour Paris" a semble-t-il écarté tout idée de contester le scrutin. "Le système mis en place a démontré de graves failles, un grand parti comme l'UMP en tirera les conséquences", s'est borné à dire le jeune élu du 18e arrondissement devant le Musée social après l'annonce des résultats.

#Bournazel s'annonce tête de liste dans le 18e

NKM : “Un seul objectif, un objectif capital : gagner à Paris, gagner pour Paris.”

Parisiennes, Parisiens,
Mes amis,
Venant d’être élue, au terme d’une longue et difficile campagne, candidate à la responsabilité de maire de Paris, je veux tout d’abord remercier tous ceux qui ont contribué à ce succès.
À mes concurrents, j’adresse mes salutations militantes.
Mes amis, certains m’ont répété à l’envie que nous aurions pu nous passer de cette primaire, que j’aurais dû avoir recours à la bonne vieille commission d’investiture, carrefour de toutes les combinaisons d’appareil. Cette primaire, je l’ai voulue. Et aujourd’hui je ne l’échangerais pour rien au monde. Cette primaire, c’est ce qui me permet de venir ce soir devant vous, et à travers vous devant chaque Parisienne et chaque Parisien pour lui dire, « je suis dorénavant votre candidate ».
Je n’ai de compte à rendre qu’à vous ;
Un seul combat à mener, pour vous ;
Une seule ambition, avec vous ;
Un seul objectif, un objectif capital : gagner à Paris, gagner pour Paris.
Gagner pour permettre à notre capitale de maintenir sa place, d’assurer son rang parmi les grandes métropoles du monde.
Gagner pour que la Ville fasse plus pour chaque Parisienne et chaque Parisien.
Cette primaire c’est la conquête de la liberté, de notre liberté. Dans la vie, ce que l’on gagne a infiniment plus de valeur que ce qui est octroyé. Personne ne nous a fait de cadeau. Rien ne nous a été donné, tout a été conquis. Nous ne devons d’être là à aucun mentor, à aucun protecteur, à aucun parti, à aucune faction. Nous ne devons d’être là à aucun héritage ni adoubement. Nous n’héritons pas, nous méritons.
Libre, totalement libre. C’est ainsi que je commence ce soir avec vous toutes et vous tous, avec les Parisiennes et les Parisiens, le combat pour Paris. Il flotte dans l’air ce soir ce parfum de liberté qui sied si bien à Paris et à son histoire.
Ce soir, je prends l’engagement de faire de cette liberté l’étendard du rassemblement qui nous conduira à la victoire.

French conservatives pick woman for Paris mayor race

The spokeswoman for Nicolas Sarkozy's re-election campaign last year won aprimary election on Monday
to become the conservative UMP party's candidate for the 2014 Parismayoral race.
Nathalie Kosciusko-Morizet, 40, an up-and-coming opposition figure who was also Sarkozy's environment minister, beat three little-known candidates to win the UMP candidacy with 58 percent of the electronic vote.
Her win will pit her against another woman, Socialist Anne Hidalgo, in the race for one of the most high-profile elected positions in France and one that is a traditional springboard for the presidency. Paris has never before had a female mayor.
Holding onto the mayorship for the ruling Socialist Party will be a challenge for President Francois Hollande, whose approval ratings have slumped to as low as 24 percent as voters blame him for record unemployment and stalled economic growth.