Les orientations budgétaires de l’équipe sortante, présentées au prochain conseil de Paris, ressemblent davantage à un exercice d'autosatisfaction qu'à une présentation objective. Le bilan bien flatteur de la gestion socialiste au cours des deux derniers mandats n’est qu’une tentative de justification laborieuse après les hausses massives d’impôts et taxes votées ces dernières années.
Les Parisiens qui ont vu leurs taxes foncières augmenter de 67,9 % entre 2007 et 2012 (hausse la plus importante de France, selon l'UNPI), ceux dont la taxe de balayage a progressé de 688 % entre 2011 et 2012, ou ceux qui ont subi une hausse de 40 % de la taxe d'enlèvement des ordures ménagères entre 2001 et 2012, ne sont pas dupes.
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