En ouvrant les consultations et le dialogue sur la question des impôts, le Premier ministre crée les conditions d’un débat plus digne et plus intéressant que le fameux « ras-le-bol » fiscal bien vite transformé en « ras-le-bol » de tout.
Cette locution infantile et radotante sature le paysage médiatique, mine les esprits, détourne toute discussion sensée. Personne n’y trouve son compte si je puis dire, même pas ceux qui l’ont lancé.
Devant ce spectacle, quelques uns, toujours les mêmes, se pourlèchent les babines et portent la diminution permanente de l’impôt comme l’étendard de leur indépendance vis-à-vis d’un État qu’ils sollicitent pourtant sans cesse.
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