Dominique Voynet appelle hier Libération. Elle dit et répète : «Je ne veux plus.» On la rencontre dans son bureau de maire de Montreuil. Devant elle, un texte écrit lui sert de cadre. Il retrace son parcours : «Nous croyions de toutes nos forces que nous pouvions changer la vie.»
Des images de Voynet s’entrechoquent : de la médecin anesthésiste du Jura devenue une figure écolo en combattant le «ni-ni» et en ancrant les Verts à gauche, à la première ministre écologiste de Lionel Jospin en 1997 slalomant, à 38 ans, entre les couleuvres, à sa candidature inaudible à la présidentielle de 2002.
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