La procureure a requis vendredi des peines lourdes contre les responsables de l’incendie qui avait fait 24 morts le 15 avril 2005. Retour sur une semaine de procès.
On a beaucoup pleuré au procès de l’incendie de l’hôtel Paris-Opéra. Pas des longs sanglots monotones, mais des pleurs de colères, des cris de détresse, des larmes de rage. Huit ans et sept mois sont passés depuis la nuit du 15 avril 2005, mais les familles n’ont rien oublié. Contrairement aux prévenus, dont les approximations, les «je ne sais plus, ca fait longtemps» ont raisonné comme autant de claques de mépris pour les parties civiles.
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