Il y avait Notre-Dame de Paris, il y aura désormais… nos Dames de Paris. Les prochaines élections
municipales dans la capitale vont en effet offrir une singulière et inédite féminisation avec le « choc » gauche-droite entre la socialiste Anne Hidalgo et l'UMP Nathalie Kosciusko-Morizet. On sait que ces batailles de Dames ne sont pas moins âpres que celles auxquelles s'abandonnent leurs collègues masculins. Il n'est donc pas imprudent de pronostiquer une bataille farouche, et sans doute assez indécise, entre « l'héritière » (Anne Hidalgo) et la « parachutée » (Nathalie Kosciusko-Morizet).
municipales dans la capitale vont en effet offrir une singulière et inédite féminisation avec le « choc » gauche-droite entre la socialiste Anne Hidalgo et l'UMP Nathalie Kosciusko-Morizet. On sait que ces batailles de Dames ne sont pas moins âpres que celles auxquelles s'abandonnent leurs collègues masculins. Il n'est donc pas imprudent de pronostiquer une bataille farouche, et sans doute assez indécise, entre « l'héritière » (Anne Hidalgo) et la « parachutée » (Nathalie Kosciusko-Morizet).
C'est que chacune des candidates affiche des forces et des faiblesses qu'il n'est pas facile d'étalonner. La désignation quasi soviétique, parce sans concurrence, d'Anne Hidalgo par 98,3 % des militants socialistes lui confère une légitimité incontestable. En même temps, elle apparaît comme une « dauphine » protégée de Bertrand Delanoë qui devra s'autonomiser et s'affirmer. C'est l'exact contraire pour NKM, fragilisée dans une primaire affligeante, mais qui va peut-être, au final, s'être libérée et affranchie" des haines recuites des « brontosaures » de la droite parisienne.
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