Courants qui se tirent la bourre, fausses cartes d’adhérents, élections suspectes et trafics d’influence : le Mouvement des jeunes socialistes n’a rien à envier à son aîné.
Quand on entre à Solférino, il y a un couloir sur la gauche au fond duquel on trouve deux petites salles. C’est là que le Mouvement des jeunes socialistes (MJS) tient ses quartiers : une salle pour les permanents, une autre pour que le trésorier puisse “centraliser” les adhésions. Le MJS a beau être une organisation de jeunesse autonome depuis 1993, quand il s’agit de recompter le nombre exact d’adhérents par fédération, c’est dans l’antre du PS que ça se passe.
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