Hostile à la réforme, le principal syndicat du primaire n'écarte pas de nouvelles actions.
Les nouveaux rythmes scolaires passent mal dans la capitale. Hier, le responsable parisien du principal syndicat du primaire, le SNUipp, a estimé que la mise en place des quatre jours et demi était une «catastrophe». Il n’a pas écarté de nouvelles actions, voire une demande de suspension du dispositif au risque de déstabiliser encore plus les enfants en cours d’année. «De toute façon, ça ne pourrait pas être pire», a-t-il expliqué.
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