Le lendemain du 21 avril 2002, tout le monde a sorti son mouchoir pour regretter la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle. Au lendemain du résultat du premier tour de la cantonale de Brignoles, les mêmes poussent des cris d'orfraies, mais ne font rien pour changer la situation.
Certains élus aujourd’hui, de droite comme de gauche, par leur attitude irresponsable ou par leur silence complice, font le jeu du Front national.
La gauche est la première responsable : par son incapacité à gérer le pays, par son matraquage fiscal contre les classes moyennes, par son laxisme face à la montée de l'insécurité grandissante.
La droite, de son côté, fait fausse route quand elle se trompe d'adversaire. Alors que Jean-François Copé est devenu en quelques mois le patron efficace qu'il fallait à l'UMP, d'autres la jouent "perso" et rêvent déjà de 2017 en insultant le passé.
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