Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la mairie de Paris, ne reviendrait pas sur la réforme des rythmes scolaires si elle était élue en mars 2014, mais la rendrait moins «anxiogène», ont affirmé mardi ses porte-parole.
«Nous n’étions pas opposés sur le fond à cette réforme dans la mesure où les écoliers français ont des journées plus longues que la plupart des Européens», a précisé l’équipe de campagne de NKM lors d’un point presse, assurant que si la réforme était «pérennisée en 2014», elle ne serait pas «détricotée».
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