L’histoire d’un français dont les racines ont poussé ailleurs
« J’aime la France, c’est pourquoi je suis là aujourd’hui. La France est mon pays mais mes racines ont poussé ailleurs. Aujourd’hui, je les ai plantées dans la terre de France. »
C’est par ces mots que j’ai découvert Chenva Tieu. Ces mots, il les a prononcés le 11 mars 2012 lors du discours de Nicolas Sarkozy à Villepinte. Chenva a de loin la plus belle histoire à raconter dans cette primaire ouverte pour l’alternance à Paris en 2014. Celle d’un entrepreneur d’origine asiatique arrivé en France et gagnant sa liberté. Devenu depuis chef d’entreprise, il est le symbole de l’intégration réussie et de la réussite par le travail. Ce sont des valeurs qui parlent au militant de droite que je suis.
Chenva Tieu est un homme qui a bâti son patrimoine sans aucune aide publique. Il a tout gagné à la sueur de son front. Seul candidat n’ayant aucun mandat, il assume bien gagner sa vie et s’est d’ailleurs engagé à reverser ses indemnités de Maire de Paris à des associations d’insertions économiques. En refusant de toucher ses indemnités de futur maire, Chenva Tieu montre que seule la passion d’améliorer la vie quotidienne des citoyens l’anime.
L’histoire d’une droite libérale et progressiste pour Paris
Je ne vais pas réécrire ici son programme, pour cela vous avez son site internet.
Mais ceux qui me lisent de temps en temps connaissent certains de mes points de vue. Je pense que la droite à Paris ne doit pas avoir peur de mener une politique différente de celles de ses régions. Paris est une ville différente. Paris est une ville mondiale, ouverte et multiculturelle.
Paris a besoin d’autorité et de fermeté face à une insécurité qui s’accroît chaque jour. Paris a besoin d’une politique économie libérale pour baisser la fiscalité des ménages et créer les emplois de demain. Enfin Paris doit être en paix avec sa diversité. A l’écoute depuis plusieurs jours de chacun des candidats, je voterai au premier tour pour Chenva Tieu : un homme qui assume ses convictions dans tous les domaines.
Plus d’autorité et de fermeté face à une insécurité grandissante. Chenva Tieu veut récupérer la délégation de la police municipale et implanter de nouvelles caméras de surveillance dans les quartiers sensibles de Paris.
Chenva Tieu est un libéral qui assume totalement ses choix économiques. Sa priorité ? Redonner du pouvoir d’achat aux parisiens tout en développant l’activité économique de Paris. Comment ? Par une réduction immédiate d’un tiers de la taxe d’habitation couplée d’une refonte de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères pour les rendre plus justes. Avec en parallèle, l’ouverture des magasins le dimanche, l’élargissement des JEI ou encore la création de la cité internationale de l’entreprenariat pour faire de Paris une terre d’entrepreneur. Chenva Tieu est un chef d’entreprise. Il en connait le fonctionnement et la complexité. Nul doute qu’il saura créer des emplois et aura la capacité de prendre des décisions parfois difficiles pour Paris.
La politique des logements sociaux de la gauche sortante, il la dénonce avec force en voulant revoir les critères d’attribution de ces logements pour en réserver un certain nombre aux classes moyennes (les grands oubliées de la politique de la majorité socialiste sortante), aux parisiens possédant un contrat de travail ou encore aux professionnels de la sécurité comme les pompiers ou les policiers.
Enfin, Chenva Tieu est le seul candidat des primaires à avoir soutenu ouvertement le mariage ouvert à tous les citoyens. Il a eu le courage de défendre ses convictions sans jamais baisser la tête. Il a tout mon respect et ma gratitude. J’étais aussi favorable à ce texte, et entendre ma famille politique le dénoncer sans cesse devenait à la longue insupportable. J'aurais aimé plus entendre des libéraux ou des progressistes de droite soutenir davantage ce texte. Aujourd'hui, Chenva Tieu incarne cette droite plus progressiste qui me correspond le plus. Malgré la sympathie que je peux avoir pour certains autres candidats, je ne peux que voter pour lui au premier tour.
Source : le bilan, c'est maintenant
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