Le logement est un sujet majeur pour la plupart des ménages français. Poste de dépense majeur, il concerne à la fois les propriétaires et les locataires. Le logement est un bien de première nécessité et le droit à un logement décent est un objectif protégé par la Constitution. Face à la dégradation des conditions d’accès au logement et l’exacerbation des tensions sur les marchés immobiliers, le gouvernement Ayrault a choisi de présenter un projet de loi qui vise à :
- Mettre en oeuvre une garantie universelle des loyers
- Alourdir les réglementations qui pèsent sur le secteur des professions immobilières
- Renforcer les conditions de mise en œuvre du droit au logement opposable
- Rendre plus difficile les expulsions
- Pouvoir mettre sous tutelle publique des copropriétés
- Lutter contre l’étalement urbain tout en rappelant l’engagement de construire 500 000 logements par an, dont 150 000 logements sociaux,
L'économiste suédois et socialiste Assar Lindbeck illustre cette vision de la manière suivante : « le contrôle des loyers est le moyen le plus efficace de détruire une ville, avec le bombardement ».
Face à la crise du logement que connaissent certaines régions françaises, Alternative Libérale appelle la représentation nationale, non pas à adopter le projet de loi ALUR, mais à faire confiance aux mécanismes de marché pour permettre au plus grand nombre de pouvoir se loger dans des conditions qui tiennent compte de la réalité.
Alternative Libérale rappelle que la crise du logement en France a pour origine la législation française qui implique une lourdeur administrative qui pèse sur la fluidité du marché.
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