Ses initiales s'affichent en une de tous les médias : NKM suscite en effet à la fois fascination et répulsion. Et si ces trois lettres permettaient à Nathalie Kosciusko-Morizet d'aller loin en politique ?
JFK, VGE, DSK, NKM. Un président américain mythique, un ex-chef d’Etat français, un ancien Directeur du FMI, la femme qui monte à Paris... Le premier est mort assassiné, le second a mal vieilli, le troisième s’est politiquement suicidé : qu’adviendra-t-il de NKM ? Il est trop tôt pour l’écrire mais quoiqu’il en soit, être identifiée médiatiquement par trois initiales, c’est, quand on est un personnage public, déposer sa marque.
N-K-M, c’est aussi trois syllabes qui claquent comme la Lo-li-ta de Nabokov, nymphette de légende qui a tant inspiré l’œuvre de Serge Gainsbourg et de bien d’autres. NKM, nymphe du Palais-Bourbon ? Un peu. Avec sa beauté diaphane, son charme évanescent et son rire de gamine, la candidate à la Mairie de Paris tranche avec la grisaille des imposantes enceintes de la République.
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