Depuis 2007, tous les candidats investis à droite dans le 12e arrondissement, ont échoué à remporter les suffrages. Certains élus parlent de la "malédiction du 12e". Une superstition qui n'impressionne pas la candidate UMP.
Il ne fait pas bon être trop superstitieux en politique. À Paris, en pleine période électorale, le 12e arrondissement va être particulièrement surveillé. Avec ses dix conseillers de Paris, son score peut faire pencher sérieusement la balance dans la bataille pour la mairie de Paris. Nathalie Kosciusko-Morizet avait même envisagé s'y présenter, avant de finalement opter pour le 14e.
Peut-être avait-elle eu vent de la "malédiction" qui touche, à chaque échéance électorale, les candidats de la droite dans le secteur. Car dans le 12e, depuis 2008, toutes les têtes d'affiche du parti ont échoué à battre la gauche, implantée depuis 2001.
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