« Nakomo », le surnom d'étudiante de Nathalie Kosciusko-Morizet avant que les initiales NKM ne l'imposent dans la vie politique française, fait la course en challengeuse à Paris. Populaire sur Twitter (plus de 266.000 followers), elle l'est moins à Paris, si l'on en croit son retard dans les sondages, et encore moins au sein de son propre camp, l'UMP. Divisée au niveau national comme à Paris, la droite n'a jamais vraiment accepté cette candidate de la nouvelle génération, trop « bobo » pour les uns, trop centriste pour les autres, du fait de son alliance inédite avec le Modem.
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