Victime d’un faux plat, la candidate UMP à la mairie de Paris va davantage s’entourer et renforcer son équipe Web pour donner un second souffle à sa campagne.
Tout remettre à plat pour mieux repartir. Ces dernières semaines, la campagne de Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la mairie de Paris, a traversé une zone de turbulences : multiplication de listes dissidentes, erreur sur les horaires des bus, formule maladroite sur le métro qu’elle a qualifié de « lieu de charme » et qui lui a valu une avalanche de tweets ironiques… « Il y a toujours des hauts et des bas dans une campagne », minimise Philippe Goujon, patron de la fédération UMP à Paris.
Pas question cependant de s’enliser dans ce trou d’air. Lundi, lors du comité politique réunissant têtes de liste et parlementaires, personne n’a osé parler de ces ratés à la candidate qui reprenait sa campagne après quelques jours au chevet de son père, tombé gravement malade. « C’était compliqué, vu l’épreuve qu’elle traverse. C’est dur pour elle », justifie un maire d’arrondissement.
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