Maladresses, trahisons, dissidences des barons, la candidate voit les embûches se multiplier.
En politique, cela s’appelle une «mauvaise séquence». Le moment où une campagne vacille, où tout se met à partir en vrille. Au comité politique de campagne, personne n’a évoqué directement la question devant Nathalie Kosciusko-Morizet, qui faisait hier sa rentrée après cinq jours passés au chevet de son père victime d’un sérieux AVC. «C’est difficile pour elle, à titre personnel, on s’est tous montrés affectueux et constructifs», raconte Jérôme Peyrat, son conseiller politique.
Le trou d’air dans la campagne est pourtant dans toutes les têtes.
La suite : Libération
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire