Nathalie Kosciusko-Morizet multiplie ces derniers jours les déclarations sur sa volonté de rassemblement tout en rejetant celles et ceux qu’elle désigne comme dissident, au nom dit-elle, du prix à payer pour le renouvellement de la droite à Paris.
Curieuse méthode de dialogue écartant dans chaque arrondissement les élus de terrain à l’écoute des habitants. Curieuse méthode de rassemblement consistant à vouloir bâtir sur des décombres.
Nathalie Kosciusko-Morizet se trompe de stratégie.
Concernant le 7ème arrondissement, je ne peux pas être traité de dissident puisque je n’ai pas renouvelé mon adhésion à l’UMP en 2013 à la suite du pitoyable épisode sans lendemain de l’élection du président du mouvement. Je suis un élu de droite libre de ses actions.
En bon militant que j’étais à l’époque, j’avais accepté en 2008 d’accueillir Rachida Dati sur le 7ème, puis évité une crise interne lors de sa désignation contre toute attente au poste de Maire par le Conseil d’Arrondissement. En loyal collègue, je l’ai accompagnée dans sa mission jusqu’au moment où j’ai constaté son désintérêt pour l’action de terrain et les préoccupations quotidiennes des habitants.
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