Aujourd’hui, les médecins urgentistes ont décidé d’un mouvement de grande ampleur afin de sonner le signal d’alarme sur la situation de leurs services, toujours plus débordés, avec des personnels épuisés, des praticiens qui consacrent 20% de leur temps à trouver eux-mêmes des solutions de séjour pour les malades au détriment des actes médicaux, des patients qui attendent de plus en plus longtemps et dans des conditions de plus en plus précaires, et un manque de lits disponibles notamment lors des pics d’épidémie”, pointe Marielle de Sarnez.
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