Un vrai calvaire. Quand elle annonce sa candidature, le 14 février, Nathalie Kosciusko-Morizet est loin
d’imaginer qu’elle embarque dans une telle galère. Borloo et Fillon ayant renoncé, elle considère, et tous les dirigeants de l’UMP avec elle, que plus rien, à droite, ne peut lui faire obstacle.
Qui, dans la capitale, pourrait faire de l’ombre à celle dont Nicolas Sarkozy a fait sa porte-parole ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire