À un an des élections à la présidence de la Fédération française, un divorce retentissant s’est ajouté aux recours liés au projet d’extension du site et à une enquête ministérielle.
Le sujet s’accroche sur toutes les lèvres, mais celles des dirigeants et des permanents de la Fédération française demeurent closes. Scellées. Un silence assourdissant. L’ordre du jour de l’assemblée générale devrait, le week-end prochain, accueillir des retouches pour laisser s’asseoir l’encombrante actualité qui se niche dans tous les apartés.
En attendant, la FFT, dans une ambiance morose, se calfeutre derrière les arguties et la procédure avancées dans un communiqué, glacial et brutal, servi jeudi dernier sur une ligne à haute tension depuis de longs mois: «La Fédération française de tennis a fait savoir qu’une procédure pouvant aller jusqu’au licenciement a été initiée à l’égard de Gilbert Ysern, directeur général.» Le jour où Benjamin Millepied démissionnait du Ballet de l’Opéra de Paris, Roland-Garros perdait son metteur en scène.
La suite : le Figaro
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