Il y a deux mois, vendredi 13 novembre 2015, d’innocentes victimes ont brutalement trouvé la mort à Paris parce qu’elles profitaient de la vie, assises en terrasse d’un café ou d’un restaurant, pour fêter un anniversaire ou célébrer la fin de la semaine. Parce qu’elles chantaient la vie, dans une salle de concert, devenue champ de bataille. Parce qu’elles étaient là, anonymes, un vendredi soir, arpentant les rues de la capitale pour retrouver, un frère, une sœur, une épouse, un ami…
Ce soir-là, la nuit était encore plus sombre que d’habitude. Paris a saigné, la France a tremblé, nos cœurs ont pleuré. À nos larmes d’éteindre le feu qui consume nos cœurs !
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