En lisière du bois de Boulogne, non loin de l’hippodrome d’Auteuil et du square du Ranelagh où gambadent les enfants du 16e arrondissement, la très tranquille avenue du Maréchal Maunoury, est un havre résidentiel pour parisiens huppés.
De 200 à 300 sans-abri et/ou migrants en attente d’un statut de demandeur d’asile devraient trouver refuge cet hiver en vis-à-vis des numéros 11 à 41. Plusieurs habitations seront construites d’ici là sur une bande de terre de 150 mètres, en bordure de l’allée des Fortifications. Jusqu’ici, pour loger des sans-abri, la ville mettait à disposition de l’Etat des bâtiments existants ou rachetait de vieux hôtels.
La suite : Le Monde
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