Un ananas et une inscription antisémite. Deux tags, deux insultes sur la fresque rendant hommage au groupe Manouchian située rue du Surmelin. Un acte condamné par Frédérique Calandra, la maire du 20e.
Avant, on l’aurait à peine remarqué. Un ananas ? Et alors ? Ce fruit délicieux n’était pas connu pour être le signe de ralliement des antisémites.
Mais c’était avant Dieudonné, ses « quenelles » et ses « shoa nanas ».
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