On ne refera pas Cécile Duflot. Piètre politique – ses manquements à répétition le démontrent –, l’ex présidente d’Europe écologie-Les Verts est à l’inverse une politicienne de compétition. Aucun calcul, surtout s’il est mesquin, ne lui est étranger…
A vaincre sans péril…
« Fracassée » à chacune des élections auxquelles elle s’est présentée dans sa circonscription d’origine (*), l’insupportable n’a longtemps pu obtenir que des accessits, grâce à des scrutins de liste. CHAQUE fois qu’elle a mené une campagne sur son nom, la claque a été au rendez-vous.
En 2012, M’ame Duflot a trouvé la parade : (faire) compulser les résultats des précédentes Législatives, identifier la circonscription alors la plus à gauche de France – la 6e à Paris – et… faire un gros caprice ! A François Hollande, favori des sondages pour la présidentielle, la renarde tint à peu près ce langage : « Si tu n’enlèves pas la candidate PS en face de moi, mon parti n’appellera pas à voter pour toi ». N’écoutant que son courage, l’héritier putatif de Guy Mollet céda au chantage, et l’impétrante fut élue après une campagne limitée à trois marchés expédiés devant les caméras, et sans daigner débattre avec ses adversaires.
Nommée ministre au nom de l’accord signé avant la Présidentielle entre EELV et le PS – qui dut s’en mordre les doigts une fois connu le score décoiffant des écolos à cette élection (2,3 %) –, Cécile Duflot ne cesse depuis de plastronner.
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