Prévu puis déprogrammé, le concert du chanteur jamaïcain Sizzla qui devait avoir lieu le 24 septembre 2010, à l’Elysée Montmartre, dans le 18e arrondissement de Paris, continue de faire des vagues. Explications de Ian Brossat, élu communiste du 18e, qui a milité pour l’interdiction.
Le concert du chanteur jamaïcain Sizzla, prévu le 24 septembre 2010 à l’Elysée Montmartre, dans le 18e arrondissement de Paris et annulé le 13 septembre 2010, a fait l’objet de vives critiques de la part de Ian Brossat, élu du 18e et président du groupe communiste au Conseil de Paris. Il avait demandé, le 7 septembre 2010, sa déprogrammation pure et simple. Motif : dans certaines de ses chansons, notamment « No Way », Sizzla tient des propos homophobes, qui font bondir Ian Brossat : « Il y a des appels aux meurtres explicites envers les gays. La liberté d’expression ne justifie pas tout », s’insurge-t-il.
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