Les équipes des candidates UMP et socialistes à la Mairie de Paris en 2014 ont mis en place un large dispositif sur Internet pour diffuser leur message et cibler les électeurs…
La campagne pour l’élection municipale à Paris en 2014 s’écrit en grand sur Internet. Les Web-campagnes d’Anne Hidalgo (PS) et Nathalie Kosciuko-Morizet (UMP) se déclinent ainsi toutes deux sur différents sites et réseaux sociaux tels qu’Instagram, Flickr, Dailymotion et YouTube, en plus des inévitables Facebook, Google+, et Twitter. Objectifs: convaincre, dialoguer, répondre aux attaques, et surtout mobiliser les électeurs. Car, comme l’explique Jean-Didier Berthault, directeur de la campagne de NKM, «l’outil numérique est au service de l’action militante. Le but est de créer des connexions entre les uns et les autres».
Volontaires prêts à dégainer sur les réseaux pour leur candidate
Plus que cette présence sur la Toile, c’est l’utilisation de ces technologies qui fait la différence. Cela nécessite des moyens humains: «Notre équipe “riposte” et “influence” compte une dizaine de personnes, mais nous avons 2.000 militants qui alimentent les contenus. On délègue, on fonctionne à la confiance», souligne Clémence Pène, responsable de la campagne Web d’Anne Hidalgo. «Il y a une équipe en centrale d’une dizaine de personnes», développe Jean-Didier Berthault.
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