On a eu le bonheur de lire hier un article de JDD à propos des « tambouilles parisiennes des communistes ».
En photo, la bouille de Ian Brossat, désigné « chef de file des communistes à Paris » pour les municipales de mars 2014. Le voilà en train de peser le pour ou le contre de l’alliance tantôt avec Anne Hidalgo (PS), tantôt avec Danielle Simmonet (PG).
Et la revoilà, la vieille méthode des couloirs, la politique à la papa, celle qui a permis aux Verts – pendant les négociations avec le Parti Socialiste – de troquer des sièges contre des centrales nucléaires! Celle des tractations en coulisse, de la diplomatie secrète des chefs de file, où l’on laisse de côté les bases politiques claires, établies démocratiquement, au profit d’alliances de circonstances!
Le jeune cadre communiste de 33 ans déclarait au JDD: « En fonction des réponses que nous aurons, nous définirons le périmètre du rassemblement« . Huit sièges par ici! Qui dit mieux?
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