On les devine à peine depuis les voies du périphérique nord. Les campements de fortune, peuplés de Roms,
de Roumains, et plus rarement de Bulgares, apparaissent, parfois en quelques jours, le long des talus, sous les échangeurs, dans les moindres interstices de la voirie… Selon les diverses estimations des services sociaux et des associations caritatives, 300 à 400 personnes vivraient actuellement dans ces bidonvilles disséminés entre la porte de la Villette (XIXe) et celle de Saint-Ouen (XVIIe).
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