Un spécialiste du marketing politique décrypte pour «20 Minutes» l’image de la candidate UMP à la mairie de Paris...
C’est les vacances pour les élus. Enfin pas pour tous. Certains profitent de cette période de creux médiatique pour faire parler d’eux. Comme NKM qui, lorsqu’elle ne se laisse pas suivre par Le Parisien lors de ses vacances en famille dans le Cotentin, déclare à la télé américaine être «une tueuse» en politique. C’est que Nathalie Kosciusko-Morizet a de grosses échéances devant elle: elle veut ravir la mairie de Paris à la gauche l’an prochain.
«Pour elle, le marketing politique et la com' politique, c’est de la politique»
D’où la nécessité de construire son image, «sa marque», comme le dit François Belley, directeur de l’agence de communication Melville et auteur de Ségolène Royal: la femme marque. «Comme Ségolène Royal, NKM a intégré la communication, l’image dans sa campagne. Elle est dans la scénarisation, comme lorsqu’elle fait une double page de Match, en longue robe blanche, avec une harpe derrière. Pour elle, le marketing politique et la com politique, c’est de la politique», explique le communiquant.
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