dimanche 21 juillet 2013
Les ratés du communautarisme municipal : les bouddhistes discriminés !
Pour expliquer urbi et orbi - si l'on peut dire - que les festivités du ramadan abritées à l'Hôtel-de-ville ne constituent pas une rupture de la loi de 1905 qui prévoit que la République ne reconnaît ni ne subventionne aucun culte, Delanoë et sa bande ont coutume d'expliquer qu'ils sont également plein de bonté à l'égard du nouvel an chinois, qui n'a pourtant pas le même caractère religieux et honore le printemps et des bouddhistes et de leurs célébrations.
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