La nouvelle convention entre la Ville et la FFT ne satisfait pas les associations. Les recours continuent de pleuvoir sur ce projet d'extension cher à la mairie.
Le dernier set dans le match qui oppose la Fédération française de tennis (FFT) aux riverains et aux associations de défense du patrimoine n'est pas près de se jouer. Ces dernières - remontées contre le traitement fait aux Serres d'Auteuil dans le projet d'extension du stade - ont récemment gagné une première manche en obtenant du tribunal administratif l'annulation de la convention d'occupation signée avec la Ville. C'est cette fois au tour de la municipalité de monter au filet. Bien décidé à garder le tournoi de Roland-Garros dans son giron, Bertrand Delanoë, sans attendre le résultat de l'appel de la décision de justice, soumettra en début de semaine prochaine au Conseil de Paris une nouvelle convention d'occupation.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire