Travailler, avoir deux enfants et une voiture : un luxe quand on habite à Paris. Des facteurs qui poussent de nombreuses familles à rejoindre la banlieue ou plier l'échine pour continuer de vivre dans la capitale. Paris ferme-t-elle ses portes aux classes moyennes?
Atlantico : A travers votre livre et votre site internet « Paris, un défi capitale » vous matérialisez vos idée pour Paris. L’une de vos propositions phares est Landolib’. De quoi s’agit-il ?
Jean-Baptiste Menguy : Il s’agit de proposer un service de location de poussettes en partage, sur le modèle de Vélib’ ou Autolib’, pour les parents qui galèrent pour se déplacer dans la Capitale. Difficile en effet de prendre le métro car il n’est pas accessible, de prendre le bus car on ne peut y avoir plus de deux poussettes ouvertes, et encore moins la voiture avec les problèmes de circulation
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