A Longjumeau, "NKM" laisse un goût d'inachevé
"Il y a une dimension humaine très forte. Ça n'est pas rien de lâcher ses habitants..." Peu avant de se porter candidate aux élections municipales à Paris, le 15 février, Nathalie Kosciusko-Morizet ("NKM") pensait à la ville de Longjumeau (Essonne), dont elle est maire depuis 2008.
L'ancienne ministre espère que l'annonce de sa démission de l'hôtel de ville, prévue lors du conseil municipal du lundi 25 février, ne sera pas vécue comme une trahison par les près de 22 000 habitants de cette commune située au sud de la capitale. NKM, qui avait promis d'aller au terme de son mandat en mars 2014, est accusée par l'opposition locale d'"abandonner" Longjumeau quelques mois seulement après avoir été réélue députée (UMP) de la 4e circonscription de l'Essonne.
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