Pour défricher de nouveaux marchés ou s’adapter à la transformation sociétale, c’est auprès des start-up que les grands groupes cherchent l’inspiration. Dans une volonté de s’affirmer sur la scène mondiale de l’innovation, la Ville de Paris en a convié un millier lors d’un « hacking » placé sous le signe de l’international.
Jean-Louis Missika, adjoint à la maire de Paris chargé notamment du développement économique et de l'attractivité, est formel :
« Paris a vocation à devenir un hub pour les start-up européennes désireuses de s'installer en Afrique, ainsi que pour les start-up africaines souhaitant se déployer en Europe ».
C'est dans cette perspective que le deuxième « Hacking » organisé jeudi par la Ville avec l'agence du développement économique et de l'innovation Paris&Co, résolument placé sous le signe de l'international, a réservé plusieurs ateliers à l'Afrique. Pour sa deuxième édition, cet événement qui consiste à mettre en relation des start-up avec de grandes entreprises et des investisseurs lors d'une journée de pitchs et de speed-dating, a attiré quelque 3000 participants, dont un millier de start-up venues de 50 pays différents et de tous les continents.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire