Paris va donc se lancer dans la course à l'organisation des Olympiades de 2024. Une belle unanimité politique se dessine autour de cette candidature poussée, voire imposée, par le Président de la république en personne, qui n'a pas hésité à rendre visite à son homologue du CIO lors d'un petit road trip en suisse. Le mouvement sportif français se prépare de son coté pour cet énième baroud d'honneur et se distribue déjà les postes honorifiques. Au milieu de cette entente cordiale, deux femmes résistent et refusent que les JO deviennent l'URSS de la gauche à Paname. Bref deux Mariannes contre les seigneurs des anneaux.
Lorsqu'Anne Hidalgo, jusque là plutôt réticente, a annoncé son « ralliement » à la cause olympique, Nathalie Kosciusko-Morizet, toujours mauvaise perdante, ne put s'empêcher se dégainer un tweet vengeur pour se féliciter que l'actuelle Maire de Paris se rallie à ce qu'elle estimé être « sa position ». « Pour moi , c'est le Bonto ce genre d'échange, s'amuse Anne Souyris, co-présidente du groupe EELV au Conseil de Paris. Personnellement je ne sais pas pourquoi Anne Hidalgo a changé d'avis. Elle a peut-être voulu suivre ce qu'elle pense être l'opinion publique, ou ne pas vouloir se fâcher avec François Hollande sur ce sujet
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