L’histoire n’en finit pas de se répéter. Et l’interminable errance des migrants de se poursuivre, de campements improvisés en campements de fortune. Depuis leur expulsion, au début du mois de juin dernier du boulevard de La Chapelle, puis du quartier Pajol et du Bois-Dormoy, puis leur évacuation, dans le calme, cette fois du Jardin d’Eole (XVIIIe) où ils avaient trouvé refuge, ils sont une centaine à camper désormais esplanade Nathalie-Sarraute, dans ce même quartier Pajol.
La suite : le Parisien
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire