Le chef de file de l'UDI analyse les chances des listes NKM. Avec deux atouts : leur positionnement centriste et l'espoir de quelques triangulaires.
Jusqu'au 5 décembre 2013, l'économiste universitaire Christian Saint-Étienne était tête de la liste UDI à Paris. L'accord signé entre le parti de Jean-Louis Borloo, l'UMP et le MoDem l'a conduit à se ranger sous la bannière de NKM. Il conduira la liste d'union dans le 11e arrondissement.
Interview.
Le Point.fr : N'avez-vous pas trouvé frustrant de devoir céder la tête de liste parisienne à Nathalie Kosciusko-Morizet ?
Christian Saint-Étienne : Si nous avons créé un parti, l'UDI, c'était bien pour nous présenter aux élections sous nos propres couleurs ! C'était d'ailleurs le choix de la fédération de Paris qui, avec 3 200 adhérents, est la première de France. Mais le désir de Jean-Louis Borloo fut de conclure un accord national. Je travaille donc avec Marielle de Sarnez et Nathalie Kosciusko-Morizet que je représente souvent sur le terrain.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire